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08/03/2017

Du 8 au 10 mars 2017, au salon "be positive" à Lyon: imerys toiture dévoile en avant première les nouveautés de sa gamme solaire

Salon de la performance énergétique et environnementale des bâtiments et territoires, le salon Be Positive est un rendez-vous incontournable pour tous les professionnels du bâtiment et de l’énergie à la recherche de solutions innovantes.

A l’occasion de sa participation dans l’Univers « Energies dans le bâtiment » dédié aux solutions énergies renouvelables, IMERYS Toiture invite les visiteurs à adopter un autre regard sur les économies d’énergie.

Le leader français de la tuile terre cuite, et spécialiste de solutions pour toits et façades, y présente en exclusivité les derniers développements de sa gamme solaire pour produire, autoconsommer et utiliser l’énergie en toute simplicité.

NOUVEAUTÉS :

HYBRID’KIT : une solution 2 en 1 qui a une longueur d’avance

ALPHA SOLAIRE : la 1ère tuile terre cuite avec cellule photovoltaïque intégrée

MARQUISE SOLAIRE : une solution qui allie protection solaire et production d’électricité


 HYBRID’KIT : une solution 2 en 1 qui a une longueur d’avance
Anticipant les exigences de la RT 2020, IMERYS Toiture innove en proposant HYBRID’KIT, une solution pour la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire, qui réunit deux technologies sur une seule tuile : photovoltaïque et héliothermique.

HYBRID’KIT : une autoconsommation maximale

Système multi-énergies pour la maison individuelle neuve ou existante, l’HYBRID’KIT comprend :
dix tuiles 2 en 1 brevetés, constitués d’un capteur héliothermique placé sous une tuile photovoltaïque, qui disposent ainsi d’une performance améliorée jusqu’à 25% l’été,
un chauffe-eau héliothermique avec ballon d’une capacité de 200 litres, répondant aux besoins en eau chaude sanitaire d’une famille de 2 à 4 personnes, programmé pour fonctionner en journée,
un micro-onduleur pour raccorder les tuiles photovoltaïques au réseau électrique et optimiser la prouction.

La production électrique des tuiles photovoltaïques compense la production de l’eau chaude sanitaire produite exclusivement en journée pour obtenir les meilleurs coefficients de performance.
En cas de surplus, celui-ci sera réinjecté dans le réseau électrique de la maison et affecté aux consommations du logement améliorant ainsi le taux d’autoconsommation (production consommée sur place / production totale).

Affichant un COP annuel moyen de 3,6 et jusqu’à 6 l’été (6 kW restitués pour 1 kW consommé), le chauffe-eau héliothermique associe une pompe à chaleur qui récupère l’énergie gratuite contenue dans l’air extérieur et celle du soleil pour chauffer l’eau du ballon.

D’une incroyable efficacité, les capteurs héliothermiques permettent à la pompe à chaleur de produire de l’eau chaude sanitaire jusqu’à 60°C avec un fonctionnement 365 jours par an, de jour comme de nuit, été comme hiver. A titre d’exemple, 10 tuiles hybrides permettent de produire 750 kWh !

Offrant des performances exceptionnelles (zéro point de consommation d’énergie primaire), l’HYBRID’KIT produit ainsi autant d’électricité injectée dans la maison que le chauffe-eau héliothermique n’en consomme annuellement. IMERYS Toiture anticipe ainsi l’une des exigences de la RT 2020 puisque plus de la moitié de l’énergie consommée par le chauffe-eau est directement produite par les tuiles photovoltaïques.

HYBRID’KIT : une solution universelle, design et facile à poser

Pour s’inscrire dans les nouvelles tendances constructives tout en respectant les enjeux environnementaux, IMERYS Toiture propose avec l’HYBRID’KIT une solution idéale alliant efficacité énergétique et esthétique.
Avec sa tuile 2 en 1, l’HYBRID’KIT optimise l’encombrement en toiture. Grâce à son châssis spécialement adapté, il trouve sa place sur tous les types de toiture qu’elle soit en terre cuite, en ardoise ou métallique, faiblement ou fortement galbée, à pureau plat ou canal. Discret, seul le capteur photovoltaïque est apparent pour s’intégrer harmonieusement au reste de la toiture.

Afin de proposer un système évolutif, la tuile HYBRID est parfaitement compatible avec l’ensemble des solutions solaires d’IMERYS Toiture. Il est ainsi possible de l’associer à toute autre tuile photovoltaïque de la marque pour augmenter sa production d’électricité.
Livré en kit complet avec tous les éléments nécessaires à son fonctionnement, la tuile HYBRID se pose rapidement sur liteaux comme les tuiles traditionnelles, ce qui garantit une étanchéité parfaite renforcée par le châssis en aluminium sur lequel repose la tuile HYBRID.

Cette innovation signée IMERYS Toiture a d’ores et déjà retenu l’attention des membres du jury des BePositive Awards qui l’ont nominé dans la catégorie « Energies dans le bâtiment ».

 ALPHA SOLAIRE : la 1ère tuile terre cuite avec cellule photovoltaïque intégrée

Pour respecter les exigences de la RT 2012 qui demande une utilisation minimum de 10% d’énergies renouvelables (5 kWhep/m2 par an) en maison individuelle, IMERYS Toiture disposait déjà de nombreuses tuiles photovoltaïques disponibles sous forme de kits en autoconsommation. Aujourd’hui, IMERYS Toiture enrichit son offre avec ALPHA SOLAIRE, la première tuile terre cuite qui intègre des cellules photovoltaïques.

Une tuile aux qualités déjà éprouvées

Directement inspirée de la forme et des caractéristiques de la tuile standard ALPHA 10 Ste Foy d’IMERYS Toiture, ALPHA SOLAIRE, bénéficie de toutes les qualités propres à ce modèle telles
que :
une étanchéité optimale grâce aux propriétés intrinsèques de la terre cuite,
une longévité et une fiabilité d’un matériau durable terre cuite garanti 30 ans,
la qualité supérieure de l’argile Ste Foy qui lui confère une haute résistance mécanique.

Deux en un, ALPHA SOLAIRE est une tuile double ALPHA 10 Ste Foy sur laquelle est assemblé, sans aucune surépaisseur, un capteur photovoltaïque. Un atout supplémentaire qui garantit une ligne épurée et lisse à la toiture pour une intégration dans le plus grand respect de l’architecture quel que soit le type d’habitation, moderne ou traditionnel, en neuf ou en rénovation.

Une pose rapide et ergonomique

Parfaitement compatible avec une toiture déjà réalisée en ALPHA 10 Ste Foy, l’ALPHA SOLAIRE d’IMERYS Toiture dispose également des mêmes caractéristiques de montage, emboîtements, pureau variable entre 350 et 370 mm et accessoires d’ores et déjà reconnus par les professionnels de la couverture. D’une grande facilité, la mise en œuvre est d’autant plus simplifiée grâce à un raccordement électrique des ALPHA SOLAIRE par raccord plug & play et à une livraison sous forme de kit complet.

Modulable en fonction des besoins, le kit comprend 11 tuiles ALPHA SOLAIRE, un micro-onduleur
et les connectiques inter-tuiles nécessaires au bon fonctionnement. Répondant parfaitement aux exigences de la RT 2012, ce système performant permet de faire gagner aux propriétaires jusqu’à 12 kwh/m2 /an sur le CEP (pour deux kits de 11 tuiles d’ALPHA SOLAIRE). La production photovoltaïque permettra d’alimenter les appareils électriques (box internet, branchement électrique...) et ainsi de réduire la consommation achetée.
Alliant couverture et étanchéité de la toiture, simplicité de pose et production d’électricité, l’ALPHA SOLAIRE d’IMERYS Toiture, sera lancée officiellement au début du deuxième semestre 2017.

 MARQUISE SOLAIRE : une solution qui allie protection solaire et production d’électricité



Parmi les critères requis par la RT 2012, il y a non seulement la réduction des besoins énergétiques grâce à une meilleure gestion des apports gratuits mais également l’obtention du confort d’été. Pour contribuer à relever ce double défi, IMERYS Toiture lance la MARQUISE SOLAIRE, une solution double fonction qui conjugue protection solaire et production d’électricité.

Un panneau photovoltaïque, deux fonctionnalités

Solution idéale en neuf, la MARQUISE SOLAIRE permet de créer une avancée de toit au-dessus de toutes les ouvertures d’un bâtiment (portes, fenêtres, baies vitrées...) qu’il soit résidentiel, tertiaire ou même industriel.
Composé d’un panneau photovoltaïque d’une puissance de 250 à 300 W/m2 et d’une structure exclusive en acier, la MARQUISE SOLAIRE fait office de brise-soleil pour protéger des rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production et l’autoconsommation en instantané de l’électricité. Performante, cette solution évolutive compatible avec l’ensemble des solutions solaires d’IMERYS Toiture permet de gagner 5 à 12 kWh/m2 /an d’énergie primaire et répond ainsi parfaitement à la RT 2012.
Au design moderne et à l’esthétique intemporelle, la MARQUISE SOLAIRE s’intègre harmonieusement à toutes les architectures, des plus contemporaines aux plus classiques. Avec son panneau photovoltaïque et sa structure intégralement de couleur noire, elle offre en toute discrétion un ombrage efficace quelle que soit l’heure de la journée.


Un brise-soleil photovoltaïque robuste et rapide à poser

Solide grâce à sa structure acier anticorrosion et à son module photovoltaïque d’une haute technicité, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture bénéficie d’une grande résistance face aux conditions climatiques.
Livrée en kit complet, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture allie simplicité et rapidité de pose. En moins d’une heure, deux personnes suffisent pour installer l’ensemble des éléments nécessaires à son fonctionnement, à savoir :
un ou deux panneaux photovoltaïques,
la structure composée de 2 consoles droite et gauche avec système de fixation inclus et d’une traverse avant,
et le micro-onduleur.
Disponible à partir de mars 2017, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture est proposée en option avec toute une gamme d’accessoires de finition (plaque de fond, joues latérales droite et gauche.

Alors que la confiance des français envers les énergies renouvelables est au beau fixe (80% souhaitent voir se développer les panneaux photovoltaïques*), IMERYS Toiture illustre une fois de plus qu’il est le partenaire incontournable pour accompagner tous ceux, professionnels comme particuliers, qui souhaitent porter un autre regard sur l’avenir.
*source 7ème édition du baromètre annuel OpinionWay pour Qualit’EnR

UNE GAMME PHOTOVOLTAÏQUE COMPLÈTE
Expert de la tuile terre cuite, rappelons qu’IMERYS Toiture propose une large gamme solaire au service d’une performance énergétique inégalée incluant des tuiles photovoltaïques novatrices et des kits complets en faveur de l’autoconsommation totale ou partielle (EVOLU’KIT), de l’autoconsommation/stockage (STOCK’IT) et de la vente d’électricité (SELL’KIT).
D’une grande fiabilité, les systèmes photovoltaïques IMERYS Toiture bénéficient d’une garantie étanchéité jusqu’à 30 ans avec des tuiles terre cuite neuves de sa gamme et d’un rendement garanti pendant 25 ans à 80% du rendement initial.

Source IMERYS TOITURE

07/03/2017

La Scop Bouyer Leroux va doubler de taille en fusionnant avec Imerys Structure

Bouyer Leroux, leader français de la brique de terre cuite, va convertir l'ex-Imerys Structure au mode coopératif.
C'est un travail de longue haleine, pour la SCOP Bouyer Leroux, que de doubler de taille. Le numéro un français de la brique en terre cuite, basé à La Séguinière (Maine-et-Loire), compte y parvenir en février 2018. Les 250 salariés, sociétaires de cette coopérative fondée en 1980, seront alors appelés à voter pour fusionner avec la filiale Bouyer Leroux Structure (BL Structure), issue du rachat du pôle terre cuite d'Imerys en 2013. Avec ses 360 salariés sur sept sites, la filiale acquise dépasse en taille celle de son acquéreur. Une telle fusion sous forme de coopérative ne s'était pas vue depuis celle de Chèques Déjeuner en 2015.
Initialement, BL Structure devait demeurer une filiale, « mais nous avons préféré une fusion-absorption, explique Roland Besnard, le PDG du groupe. Car nos activités sont les mêmes, ainsi que les clients, on ne pouvait imaginer durablement de faire vivre deux entités côte à côte ».
SPPF et Fermetures Loire-Océan, autres filiales de Boyer Leroux, ne passeront pas au statut coopératif
Depuis le rachat, Bouyer Leroux a mené un long travail de convergence sur l'informatique, les pratiques, le langage interne, la codification des produits, la gouvernance… Restait à s'aligner sur le statut coopératif, ce qui implique un travail de formation des salariés avec un système de parrainage. Pour ne pas déstabiliser le groupe, « les salariés se présenteront au sociétariat en trois vagues », précise le dirigeant, qui décrit deux cultures différentes entre les sociétaires historiques et les ex-Imerys. L'esprit coopératif « ne se décrète pas » , mentionne Roland Besnard. « Mais un vote négatif créerait une forte déception et ferait de cette filiale un bateau difficile à piloter. »
Pas question, en revanche, de convertir les autres filiales du groupe au statut coopératif. Bouyer Leroux détient notamment les menuiseries SPPF et Fermetures Loire-Océan. En 2014, il s'est diversifié dans le béton en reprenant le breton Robert Thébault. Le groupe atteint ainsi un effectif de 900 salariés, pour un chiffre d'affaires de 185 millions d'euros. « Du fait de leur rentabilité et de leur valorisation, ces sociétés seraient hors d'atteinte pour les salariés », précise Roland Besnard. Qui plus est, « elles ont été acquises dans le cadre d'une stratégie de diversification », poursuit-il. « Si la Scop allait mal, elles pourraient nous aider à survivre grâce à leur résultat ou même être cédées pour dégager une marge de manoeuvre. »
Source Les Echos par EMMANUEL GUIMARD

06/03/2017

Martin Piotte est nommé Directeur de la Technologie et de l’Innovation du Groupe TERREAL

Laurent Musy, Président Directeur Général de TERREAL, a le plaisir d’annoncer l’arrivée de Martin Piotte au poste de Directeur de la Technologie et de l’Innovation du Groupe.

La Direction de la Technologie et de l’Innovation a pour mission de développer les nouveaux systèmes et produits au service de nos clients, ainsi que les ressources d’argile et les nouveaux procédés qui doivent rendre nos usines plus performantes et durables.

Elle est également en charge, avec la direction industrielle, d’évaluer et de mettre en œuvre les investissements internes et externes. Elle assure de plus l’assistance technique, requérant une expertise approfondie, aux équipes opérationnelles industrielles et marketing.

Martin Piotte assure le développement des partenariats externes de R&D et des relations institutionnelles et professionnelles visant à défendre et développer les marchés de Terreal d’un point de vue réglementaire.

Martin est basé au Centre de Recherche et de Développement de Terreal à Castelnaudary (Aude).

Biographie

Diplômé d’un PHD de Chimie Physique de l’université de Sherbrooke au Canada, Martin Piotte a débuté sa carrière au sein du Groupe Lafarge. Il y a occupé plusieurs fonctions pendant plus de 16 ans, dont ceux de Directeur de la conformité industrielle et de Directeur de Portfolio de recherche.

En 2011, il rejoint Siniat International en tant que Directeur Qualité Procédé, Opérations pour les zones Europe et Amérique du Sud.

Source Wellcom

La Résidence Black Box (Lyon) s’habille de vêture de terre cuite Thermoreal-Gebrik noir velouté posée à la verticale

Un immeuble paré d’une vêture en terre cuite de couleur noir, posée à la verticale, c’est le projet surprenant de l’Agence Soho en collaboration avec TERREAL. Construit dans une « dent creuse » au cœur de Lyon Perrache, la résidence Black Box affirme sa différence.

Glissé entre deux bâtiments mitoyens d’architecture classique, Black Box surprend par sa façade alliant acier et terre cuite d’un noir velouté. En posant la vêture à la verticale, l’architecte associé en charge du projet, Patrick Miton (Agence Soho), a souhaité s’affranchir de l’image traditionnelle de la brique et affirmer son choix pour une vêture isolante habillant un mur béton et non une maçonnerie en brique. C’est également une façon d’affirmer la proportion verticale du bâtiment.

Le Thermoreal®-Gebrik® est posé en aplats cadrés par des nervures d’angle verticales en joints creux et des couvertines en acier laqué noir. Les baies viennent s’y inscrire dans des pré-cadres également métalliques. Les joints ont été traités dans une teinte la plus proche possible de la brique.

Le Thermoreal®-Gebrik® est un panneau isolant préassemblé en usine, constitué de plaquettes de terre cuite serties dans une mousse isolante en polyuréthane rigide. Il se fixe par chevillage directement dans le mur support. Cette solution de vêture pré-assemblée a permis la pose à la verticale des briquettes de terre cuite pour une esthétique très originale du bâtiment.

Une sous-couche de 10 cm de polystyrène extrudé vient en complément du Thermoreal®-Gebrik® pour isoler le bâtiment, classé BBC.

Résidence Black Box:

  • Lieu : Lyon 2ème (69)
  • Surface de façade: 425 m²
  • Architecte : Soho Architecture et Urbanisme – Lyon
  • Maître d’ouvrage : DCB International
  • Produit TERREAL : vêture Thermoreal® Gebrik
  • Couleur : noire
  • Entreprise de pose : IB Façades – Vaux en Velin
Source Welcom Presse

05/03/2017

Haute-Loire : le groupe Cérabati repris par Koramic

Le tribunal de commerce de Lyon a accepté, le 14 Février, l'offre de reprise du groupe Koramic pour Cérabati. Sur les 116 postes que compte le site de Couteuges et celui du siège à Lyon, 93 seront repris dont 77 salariés sur les 87 employés en Haute-Loire.
Une étape est franchie depuis ce mardi dans le dossier de reprise du groupe Cérabati, en redressement judiciaire depuis novembre 2016. A minuit, dans la nuit de mardi à mercredi, le groupe belge Koramic, à travers Cofrac, sa société holding en France, est devenu le nouveau propriétaire du site.

La veille, au tribunal de commerce de Lyon, l'offre du repreneur du site de Couteuges (87 salariés) et de son siège à Lyon (33 salariés) a été acceptée. Sur les 116 postes que compte le groupe Cérabati, 93 seront repris. Dix postes seraient supprimés sur le site de Couteuges et 13 à Lyon.

Le personnel de production le plus touché
« Une étape est franchie mais cela reste un regret de perdre dix emplois sur le site de Couteuges et treize à Lyon, on perd toujours trop d’emplois, précise Laurent Batisson, délégué syndical. Et dans ces cas, ce sont souvent à 80 % les personnels de production qui sont impactés... La prochaine étape sera la finalisation de l’offre de reprise et les discussions avec l’administrateur pour la gestion du plan social. »

Le groupe belge Koramic, dans un communiqué, annonce que ce rachat "créera le plus grand groupe de l'industrie du carrelage céramique en France".


Le groupe Koramic est implanté dans le domaine du carrelage en France au travers de la société Desvres et de deux unités de production situées à Maubeuge (Hauts de France) et Forbach (Moselle), rachetée le 6 décembre 2016.

Se spécialiser 
"Le nouvel ensemble emploie 380 collaborateurs en France et réalise un chiffre d'affaires de plus de 60 millions d'euros, est-il précisé. Il fera partie de la division Produits céramiques de Koramic : ‘Koracer‘. Il s’appuie sur des marques réputées, chacune ayant son identité propre ; un outil industriel comprenant trois sites de production totalement complémentaires en termes de savoir-faire et de localisation géographique avec une capacité de production totale de près de 10 millions de m². Ces complémentarités ouvrent la voie à une spécialisation des usines par gamme de produits pour une plus grande efficacité industrielle et une proximité géographique accrue pour délivrer le niveau de service attendu par les clients."

Une stratégie affichée de Koramic de prendre des parts de marché en s'appuyant sur des produits Origine France garantie et en réduisant l'empreinte écologique des transports.

Le groupe Koramic
C'est un groupe privé belge créé en 1883 et actif dans différents métiers. Il réalise un chiffre d’affaires de 600 millions d’euros dans 15 pays et emploie plus de 6.000 collaborateurs. Outre la fabrication de carrelage, Koramic est aussi dans la production de produits chimiques pour le bâtiment et dans les centres d’appels.

Source Le Moniteur par Magali Roche

04/03/2017

Don d’argile pour l’association Lieu Commun à Toulouse

TERREAL a été sollicité par Lieu Commun, lieu d'exposition d'art contemporain sur Toulouse, pour fournir de la matière première dans le cadre d’un projet pédagogique.

Un parcours artistique, destiné à des lycéens de trois établissements toulousains, leur propose ainsi de partir à la découverte d’expositions, d’œuvres, d’artistes et des métiers de l’art.

L’association a pour cela invité le trio d’artiste ILE/MER/FROID à intervenir lors d’ateliers avec des lycéens issus de différents horizons : Techniques du bâtiment et organisation du gros œuvre, arts plastique ou encore communication. Le but : préparer une exposition collective pour le mois de juin 2017.

Un des ateliers sera ainsi consacré à la création, avec comme matière première l’argile provenant de notre carrière de Colomiers.

TERREAL, via sa contribution, est fier de participer à des projets éducatifs et culturels comme celui initié par Lieu Commun. Les élèves peuvent ainsi découvrir toutes les qualités de l’argile et travailler avec un matériau 100% local puisque l’argile est extraite en région Occitanie, à proximité de Toulouse.

Source TERREAL

Chine : reprise du secteur des matériaux de construction en 2016

Le secteur des matériaux de construction de la Chine a connu une croissance l'année dernière comme le marché de l'immobilier du pays s'est développé, selon des données officielles publiées lundi.
La production du ciment a progressé de 2,5% en glissement annuel pour atteindre 2,4 milliards de tonnes en 2016, contre une baisse annuelle de 4,9% en 2015, selon la Commission nationale du développement et de la réforme.

La production du verre plat a augmenté de 5,8% sur un an en 2016, contre un recul de 8,6% enregistré en 2015.

Ces augmentations interviennent alors que le secteur immobilier du pays, consommateur principal du ciment et du verre plat, a connu une croissance l'année dernière grâce à la réduction des taux d'intérêt et du taux de réserves obligatoires.

Les investissements dans le secteur immobilier ont enregistré une hausse de 6,9% sur un an en 2016, soit 1,1 point de pourcentage de plus par rapport aux trois premiers trimestres, et 5,9 points de pourcentage de plus par rapport à 2015, selon le Bureau d'Etat des Statistiques (BES).

Cependant, la reprise du secteur immobilier est variable d'une ville à l'autre, avec une forte augmentation des prix des logements enregistrée dans les régions qui sont fortes sur le plan économique, et des logements qui restent invendus dans les régions moins développées.

Source CRI Online

03/03/2017

Les résultats de Cerinnov boostés par l'international

Cerinnov Group a passé une bonne année 2016. Le spécialiste de l'ingénierie robotique et des équipements industriels pour l'industrie de la céramique et du verre en France, implanté sur le parc d'Ester Technopole à Limoges, a vu son chiffre d'affaires progresser de 91,1 % à 18,7 millions d'euros contre 9,8 millions d'euros en 2015.

Les raisons de cette croissance exceptionnelle ?

1- Une accélération à l'international (+ 148%)

C'est le moteur de la croissance générée par le groupe. Une performance remarquable qui s'explique par une présence forte : trois implantations en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis et 15 agents commerciaux qui couvrent 70 pays à travers le monde. Résultat : Cerinnov a réussi à conquérir des acteurs majeurs de l'industrie mondiale de la céramique et du verre. En 2016, le groupe a livré plusieurs machines et équipements de pointe à plus de 230 clients, dans plus de 30 pays sur les cinq continents

«  Cette réussite démontre notre capacité à nous inscrire au cœur de l’industrie 4.0 en fournissant à ces acteurs internationaux les équipements et les machines de pointe qui correspondent strictement à leurs besoins. Ces performances sont le résultat d’innovations constantes menées par nos équipes de R&D et d’expertises techniques uniques que nous détenons pour anticiper les technologies de demain et aider nos clients à relever les défis de la compétitivité et de la différenciation de leur industrie ».
ARNAUD HORY (Président-directeur général et co-fondateur de Cerinnov Group.)

2- Une diversification sectorielle

Historiquement ancré dans le secteur traditionnel des Arts de la table, Cerinnov Group a su diversifier sa clientèle en s'adressant à de nouveaux secteurs : la céramique technique (33 % du chiffre d'affaires 2016) et la métallurgie (24 % du chiffre d'affaires 2016).

En 2015, les Arts de la table représentaient encore plus de la moitié du chiffre d'affaires de Cerinnov Group. Fin 2016, ils ne représentaient plus que 36 % du chiffre d'affaires total.

Source Le Populaire

02/03/2017

ALGERIE - OUARGLA : Les mines d’argile, un drame écologique

Connue pour la richesse de son sol, Beldet Omar, situé dans le nord de la wilaya de Ouargla, abrite de nombreuses carrières et de mines, dont des mines d’argile.

Alors que des sociétés privées extraient cette argile pour la fabrication de briques, grâce à des licences d’exploitation, les associations écologistes et les autorités locales tirent la sonnette d’alarme. L’exploitation de ces mines, disent-elles, est en infraction avec la loi qui exige de remettre le sol en l’état après extraction de l’argile. Résultat de la non-application de cette clause, des trous géants se sont formés et font désormais office de dépotoirs.

Ces trous, dont la profondeur atteint parfois 30 mètres, ont  même entraîné la montée des eaux souterraines et la formation d’un grand lac, à l’été 2014. Ignorant les dangers liés à ces eaux stagnantes, véritable catastrophe écologique, les habitants s’y sont  baignés, obligeant les autorités locales à décréter l’état d’urgence et à combler le lac au bout de deux semaines. Cet incident est, selon les associations écologistes, une preuve supplémentaire de  la désinvolture de ces sociétés d’exploitation des mines d’argile. Un lac d’eaux souterraines formé à cause des dépassements dans l’extraction d’argile.

Atteinte aux parcelles

Les agriculteurs dont les terres jouxtent ces mines, souffrent spécialement de cette proximité, les opérations de forage les empêchant d’atteindre leur terre et endommageant leurs récoltes. Oncle Mohamed, un de ces fermiers, affirme que les glissements de terrains dus à l’extraction d’argile entraînent l’écoulement des eaux sous les couches du sol de sa plantation. Ces eaux dépassent de loin les besoins des récoltes qui finissent par s’altérer.

Oncle Mohamed réclame des autorités locales de mettre un terme aux dérives de ces entreprises, d’imposer un contrôle strict sur les opérations de comblement et d’instaurer un système d’exploitation périodique pour minimiser les dégâts dans les mines. Le maire de Beldet Omar se défend en déclarant que  la municipalité «n’a rien à voir avec les problèmes dans les mines, même si celles-ci se trouvent sur des terrains municipaux».  Il précise que «les licences d’exploitation sont fournies par le ministère de l’Energie et des Mines et que la loi est appliquée sur toutes les mines du pays».

Arguments des exploitants

Les détenteurs de licence d’exploitation estiment de leur côté que le non-comblement des mines est dû au «manque d’équipement et de main-d’œuvre dans ce pénible domaine». Un argument fallacieux, selon les écologistes, qui notent que ces entrepreneurs  n’ont aucun problème à trouver de la main-d’œuvre pour forer, mais ne la trouve pas quand il s’agit de combler les fosses.

Saleh G., représentant d’une association écologiste à Ouargla, dénonce une réalité qui dure depuis des années. «L’exploitation des carrières et des mines à Ouargla remonte à 1989. Depuis, le forage va bon train et l’environnement ne cesse d’en pâtir», dit-il. Saleh se demande indigné : «pourquoi continue-on de causer tant de catastrophes et de nuire de la sorte à la nature ?

Pourquoi ce silence de la part des autorités ?»

Quant à Abdelhamid Safi, expert en géologie, il accuse les chefs des sociétés qui exploitent ces mines «d’être conscients des dégâts qu’ils causent aux habitants de la région et à la nature». «Le forage sans comblement par la suite est la plus grande violation de la terre…
La science moderne découvre chaque jour de nouvelles méthodes pour protéger le sol et les couches terrestres de l’érosion, et ces chefs d’entreprise viennent bousiller tout ceci sans la moindre considération pour le droit international ni pour la Constitution du pays».  Safi a réclamé au ministère de l’Energie et des Mines de  «prendre des mesures punitives contre tous ceux qui enfreignent la loi sur l’exploitation des mines».

Source El Watan par Mohcine Ghettas

01/03/2017

Vandersanden Group buys four brickworks from CRH

The Belgian brick manufacturer, the Vandersanden Group, is acquiring from CRH three brickworks in the Netherlands and one in Germany. In the Netherlands, these are the Bylandt Tolkamer plant (pavers), the Bylandt Kessel plant (extruded bricks and pavers) and the Façade Beek plant (hand-moulded facing bricks). In Germany, the AKA Oberlausitz Klinkerwerke (a brickworks near Dresden) manufactures extruded facing bricks and pavers. In addition, there is a central sales office in Peine (central Germany) and the sales partner “De Saegher” (a renowned ceramic specialist) in Antwerp, Belgium. Together, all these CRH facilities employ a total of 230 people.
The main reason for the acquisition are synergies between the business activities of the two companies. Vandersanden, the Belgian family-run business, is a market leader in hand-moulded bricks in Belgium, and this acquisition will, in 2017, elevate it to become a market leader in clay pavers in the Netherlands.

In the increasingly important German market, the Vandersanden Group will gain even more openings to meet the needs of the market for façades and pavers.

This acquisition is part of the overall Vandersanden Group strategy and strengthens its position as one of the largest family-owned brick manufacturers in Europe. Only recently, Vandersanden acquired its sales partner Hoskins Brick in Great Britain.

As a result of these acquisitions, Vandersanden Group will employ a total of 600 people in 2017, including 240 employees in Belgium, 275 in the Netherlands, 15 in Great Britain, 4 in France and 66 in Germany. The annual total production capacity will be more than 500 mill. bricks.

Following the acquisition, which is expected to take place in the second half of January 2017, the consolidated turnover of the Vandersanden Group will be € 160 mill., with the main sales markets being Belgium, the Netherlands and Germany (with combined sales of approx. 85 % of the turnover). Additionally, the group exports to more than 20 other countries and regions, including Great Britain, Ireland, France, Poland, Russia, the Middle East and Asia.

Source Ziegelindustrie International

28/02/2017

Eric Lebeau est nommé directeur commercial d’Imerys Toiture

Le fabricant de tuiles et de produits de couverture et de façade Imerys Toiture annonce cette nomination suite au départ en retraite de Jean-Noël Robelin.

A partir du 1er mars prochain, la direction commerciale d’Imerys Toiture change de tête. Jean-Noël Robelin, actuel titulaire du poste, part en retraite et cède sa place à Eric Lebeau. Agé de 54 ans, Eric Lebeau a effectué l’essentiel de sa carrière chez cet industriel, qu’il a rejoint en 1986. Après 17 ans en tant que Responsable de Secteur, fonction qu’il a exercé sur trois régions différentes, il a été successivement directeur régional des ventes Rhône-Alpes, puis directeur national des ventes, poste qu’il occupait depuis 2012.

Il pilotera les orientations stratégiques sur les cinq activités de l’entreprise : tuile, bardage, solaire, services et accessoires fonctionnels.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère

27/02/2017

TERREAL VA-T-IL CHOISIR DE MUSCLER ROUMAZIÈRES ?


Laurent Musy, P-DG de Terreal, avait fait hier le déplacement du siège

Le P-DG était hier en Charente limousine. Au préfet et à quelques élus, il a indiqué que le site était sur les rangs pour un projet de développement.

Il en a trop dit ou pas assez. Et a même un peu regretté l’indiscrétion. Laurent Musy, le P-DG de Terreal, en visite hier après-midi à l’usine de Roumazières où il recevait le préfet Pierre N’Gahane et quelques élus du territoire, a annoncé que le fabricant de tuiles pourrait à court terme doper son entité charentaise. "Nous avons envie de rester une industrie leader, indique-t-il. Roumazières est notre usine la plus importante, elle est stratégique et fondamentale, même si la baisse d’activité nous contraint à recourir à du chômage partiel trois mois par an. Pour accompagner notre développement, nous pourrions être amenés à investir ici de manière satisfaisante."

De quoi mettre l’eau à la bouche du représentant de l’État et des décideurs de Charente limousine. "Si vous nous en dites plus, cela pourrait être un argument pour vous accompagner", tente le préfet. Raté. Laurent Musy répond que le sujet est "bien trop prématuré" et que d’ailleurs, "ça ne se fera peut-être pas ici". Roumazières est en concurrence avec d’autres sites du groupe.
Deux autres, selon nos informations, répartis parmi les différentes tuileries du groupe, en Occitanie, en Bourgogne-Franche-Comté, en Normandie ou en Ile-de-France. Il s’agirait d’une unité de fabrication de tuiles spéciales, destinées à un marché qui ne serait pas forcément national. L’activité, quel que soit le site retenu, ne démarrerait pas avant 2019 ou 2020.

"Plus de polyvalence" à l’horizon 2020

Frappé par la crise du marché (-40% en dix ans), la tuilerie ne fonctionne actuellement que 9 mois par an.

À ce propos, Bruno Hocde, le directeur de l’usine de Roumazières, est tout aussi prudent que son patron. "Nous avons des atouts à faire valoir. Nous aimerions bien évidemment être retenus, mais les réflexions n’en sont qu’au tout début. Nous ne pouvons rien annoncer pour ne pas donner de faux espoirs aux gens."
Rien annoncer encore, c’est aussi le mot d’ordre quant aux suppressions de postes pour l’heure toujours fortement envisagées à Roumazières dans les trois ans. "Nous souhaitons axer davantage sur la polyvalence pour ne pas avoir à remplacer tous les départs à la retraite, dit Laurent Musy. Nous devons réfléchir à d’autres fonctionnements pour réagir autrement que par du chômage partiel aux baisses d’activité." Soixante-dix salariés feront valoir leurs droits à la retraite d’ici à 2020. La grande majorité d’entre eux ne sera a priori pas remplacée.
Pour autant, le tuilier historique reste confiant en son avenir sur ses terres d’argile historiques de Charente limousine. Le groupe a obtenu l’an dernier l’autorisation d’exploiter de nouvelles carrières et prospecte désormais du côté du nord de la Dordogne, de la Vienne et de l’Indre. Ses carrières actuelles lui offrent six ans de visibilité à Roumazières. Laurent Musy a l’ambition de faire grimper ce chiffre à vingt ans.

Source La Charente Libre par Benoît CAURETTE

TERREAL mécène de SNL Essonne pour la création d'un logement d'insertion

TERREAL a offert les tuiles nécessaires à la réfection du toit d’un bâtiment rénové par Solidarités Nouvelles pour le Logement en Essonne (SNL Essonne). La réhabilitation de ce T4 permettra de loger une famille en difficulté et de lui apporter tout le confort essentiel à sa réinsertion.

SNL Essonne a pour mission de créer des logements très sociaux et de les louer à des personnes en difficultés. L’association a ainsi fait l'acquisition d’un bâtiment présentant une surface habitable de 72 m² à Villebon auprès d’un propriétaire engagé. La maison a été entièrement réhabilitée grâce aux subventions et mécénats dont SNL a pu bénéficier pour y accueillir une famille. Parmi eux, TERREAL a effectué un don de 5 palettes de tuiles Côtes de Nuits (soit environ 1500 tuiles) et d’accessoires (faitages avec rabats, chatières, rives à rabat) pour rénover la toiture.

TERREAL mène une politique de mécénat en faveur de l’accès au logement et de la sauvegarde du patrimoine. Cette action est au cœur de nos convictions, notre volonté étant d'apporter une contribution durable à notre environnement, pour le bien-être collectif et le confort de vie.

Source Terreal

26/02/2017

Fimec Technologies devient Alfi Technologies

Le groupe Materials Technologies fédère ses différentes activités sous la nouvelle marque Alfi Technolies pour rationaliser ses activités et se développer dans l’intralogistique.

Le groupe et ses filiales, Fimec Technologies, ACC Technologies, Adler Technologies et Chaudronnerie Savoyarde portent désormais la marque Alfi Technologies. En complément des solutions dédiées à la fabrication de matériaux de construction (béton, terre cuite, isolation et plaques), le groupe s’appuie sur son savoir-faire dans le domaine de la manutention de charges de grandes dimensions pour proposer des solutions dédiées à l’intralogistique, notamment dans les industries aéronautiques, pneumatiques et papier.

Sur le marché de la logistique et des centres de tri express postaux, Alfi Technologies capitalise sur son expérience dans le déchargement automatisé avec ses basculeurs de la gamme U-Care, lancée en 2014, qui permettent d’augmenter le nombre de colis traités par heure tout en respectant l’intégrité des colis. "Une réelle avancée en terme d’ergonomie pour les opérateurs", explique Pierre Audic, responsable développement Transport et Logistique. Soutenu par la BPI, Alfi Technologies pèse aujourd’hui 40 millions d’euros de chiffre d’affaires dont un tiers dans le domaine de l’intralogistique, axe de développement du groupe.

Source Stratégie ligistique par GILLES SOLARD    

25/02/2017

ALGERIE Achouat (Taher) : Redémarrage de la briqueterie

Après un arrêt de quatre mis à profit pour la rénovation des équipements de l’ancienne entreprise publique reprise par l’opérateur Alcodimex, la briqueterie d’El Achouat, dans la commune de Taher (wilaya de Jijel), a redémarré il y a un mois.

Cette reprise permettra d’injecter dans le circuit de la construction 150 000 tonnes par an de produits rouges, jusque-là essentiellement achetés dans d’autres wilayas du pays.

Reprise dans le cadre de la privatisation des entreprises publiques, l’usine a bénéficié d’une rénovation réalisée par les entreprises Ipa Group (Italie) et Ceratec (Belgique), pour un coût de 15 millions d’euros, financés en partie par la BEA et les fonds propres pour 760 millions de dinars.

L’usine, qui emploie actuellement 130 personnes et qui a généré 300 emplois indirects, bénéficie d’une étude pour son extension afin d’installer une deuxième briqueterie de 200 000 tonnes/an.

Source El Watan par Fodil S.

24/02/2017

Algérie : les matériaux de construction subissent l'effet de l'austérité

En Algérie, même les importations de matériaux de construction sont soumises à l’austérité à laquelle s’astreint le pays avec l’effondrement des cours du pétrole. Les importations algériennes de matériaux de construction notamment de ciment, d’acier, de fer et de céramique, ont enregistré une baisse en valeur de 18,1% en 2016.
Les chiffres ont été révélés par le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) affilié aux Douanes algériennes. Pour l'année 2016, l'Algérie n'aura importé que 2,1 milliards de dollars contre une valeur de 2,57 milliards de dollars une année plus tôt.

Dans le détail, la baisse en valeur est le résultat de la conjugaison d'une chute de plusieurs types de matériaux. Ainsi, l'importation de ciment a connu une chute de 35,45%, passant de 474,3 millions de dollars en 2015 contre 306,1 millions de dollars en 2016.

Chute en quantité et en valeur
Les importations de fer et d'acier ont reculé à 1,4 millions de dollars en 2016 contre 1,17 millions de dollars soit une baisse de 16,23% d'une année à l'autre. De plus, le bois de construction et ses dérivés ont connu une baisse 12,35% confortée par un recul de sa facture passée de 642,08 millions de dollars en 2015 pour se retrouver à 562,7 millions de dollars.

Cette baisse en valeur a entraîné dans son sillage, une baisse en quantité moins marquée. De 11, 11 millions de tonnes entre janvier et décembre 2016, la quantité de matériaux importées pour la construction, n'a été que de 9,8 millions de tonnes au cours de la même période en 2016 soit une chute de 11,74%. Conséquence d'une baisse dans certains types de matériaux et timide hausse dans d'autres.

Austérité oblige...
Là aussi, la baisse dans les importations de ciment s'est fait ressentir. De 6,6 millions de tonnes en 2015, les quantités importées de ciment se sont chiffrées à 4,8 millions de tonnes soit une baisse de 27,41%. Il faut cependant voir dans cette baisse les mesures de limitation de l'importation du ciment par les autorités algériennes via un système rigoureux de quotas.

Par contre, le bois affiche une hausse de 6,21% en un an, en passant de 49.544 tonnes en 2015 à 52.621 tonnes en 2016. Tendance à l'opposé pour le fer et l'acier, avec une chute de 10,4% passant de 3,03 millions de tonnes à 2,71 millions de tonnes d'une année à l'autre.

Cette double chute de la courbe d'indicateurs des matériaux de construction s'explique par la baisse des cours mondiaux de pétrole, principal ressource économique du pays maghrébin (97% des recettes d'Etat).

Affectée par cet effondrement des cours comme la plupart des pays pétroliers, l'Algérie a adopté des mesures d'austérité parmi lesquelles l'obligation pour les entreprises de BTP de s'approvisionner sur le marché local plutôt que d'importer des matériaux, désormais soumis à des quotas.

Source  La Tribune Afrique 

23/02/2017

Salon BePositive : 22 solutions innovantes en lice pour les Awards

Près de 30 000 professionnels sont attendus au salon BePositive, qui ouvrira ses portes le 8 mars prochain à Lyon.

À cette occasion, les visiteurs pourront notamment découvrir les lauréats des BePositive Awards, récompensés dans quatre catégories de solution : EnR & territoires, Energies dans le bâtiment, Flam’expo et Bâtiment & Aménagement. Vingt-deux produits et services sont actuellement en lice pour tenter de remporter l’un des prix.

Catégorie Énergies dans le bâtiment

Pour la catégorie EnR & territoires, quatre candidats ont été retenus par le jury de sélection, à l’instar d’Imerys TC (Rhône) et sa tuile Alpha Solaire, qui intègre des cellules photovoltaïques à une tuile terre cuite. D’autre part, la batterie Stock-R, présentée par Systovi (Loire-Atlantique), stocke la chaleur issue de l’énergie solaire afin d’apporter du chauffage en journée ou en soirée.

Source Batiweb

22/02/2017

USA Hebron Brick becomes employee-owned business

The employees of Hebron Brick Co. became business owners last month when the company adopted an ESOP, or employee stock ownership plan.

The manufacturer of clay brick and concrete blocks became 100 percent employee-owned Jan. 10 thanks to a collaboration between the business, First International Bank and Trust and the Bank of North Dakota.

The move was made to ensure the North Dakota company remains "viable for generations to come," said CEO Rodney Paseka.

"We believe providing ownership as an employee benefit will lead to greater employee satisfaction, better retention and greater customer service," added President Jeff Laliberte.

Hebron Brick was founded in 1904 in Hebron, N.D. Today, the company owns nine locations in North Dakota, South Dakota and Minnesota.

Source INFORUM

Malaysia: Fire breaks out at clay-brick maker Kia Lim’s factory

BATU PAHAT: A fire broke out on Friday morning at one of the factories belonging to a subsidiary of Johor-based clay brick manufacturer Kia Lim Bhd.

The company said in a filing with Bursa Malaysia that no personnel was injured in the 6am incident that took place at the factory’s buildings, which housed machinery for firing materials and storage, firing material for transportation, feeding system and tunnel kiln.

Kia Lim said at the time of the filing it was unable to ascertain the extent of the damage and financial loss the company.

“KLB is looking into ascertaining the actual extent and quantum of the damage caused by the fire together with the insurers and other relevant parties,” the company said.

Kia Lim’s share price rose 3.5 sen to close at 48.5 sen last Friday.

Source The Sundaily

Guy Quémerais, quarante ans de service chez Terreal, cela méritait une petite fête entre collègues

«Guitou», comme le nomment ses amis, qu'ils soient du monde du travail, du rugby, des Gauvois, ou les Villeneuvois qui l'ont vu grandir, vient de faire valoir ses droits à la retraite à compter du 1er février, quarante ans et cinq mois aux labos de l'entreprise Guiraud frères puis du groupe Terréal.

Embauché le 23 août 1976 après une rencontre fortuite sur les terrains de rugby avec Charles Guiraud qui lui a tendu la main. Un pan de vie, une page se tourne et pour cela tous ses collègues de travail, actifs, retraités, cadres et directeurs étaient réunis, ce vendredi, autour d'un «pot» et d'un buffet amical et superbement décoré, Guy est capable de faire des yeux à un chat, pour anecdote tous ses copains villeneuvois le surnomment «Mac Gyver», référence à la célèbre série télévisée.

Une soirée réussie avec l'aide de sa proche famille : Martine son épouse, Pauline sa fille, qui avaient concocté des pâtisseries d'enfer ; Claude son «frérot», son clone de bricoleur mais aussi docteur es'pizza ; Rosemonde, Grégory et Geneviève les petites mains au grand cœur. Guy remercie les quatre-vingt-dix personnes qui se sont associées à cet événement, il nous a confié sa joie d'avoir partagé ce grand moment d'humanité et de fraternité. Il rappelle qu'une centaine de stagiaires sont venus recueillir ses précieux conseils, notamment une jeune Mexicaine qui depuis son pays, au téléphone, vient de lui souhaiter bonne retraite.

Guy, profite de ta nouvelle vie, enseigne à Liam, ton petit-fils, les rudiments de la vie.

Source La Dépêche du Midi

21/02/2017

Braas Monier appoints Georg Harrasser

The Braas Monier Building Group has appointed Georg Harrasser (50), currently Chief Operating Officer (COO) at Braas Monier, as its Chief Executive Officer (CEO).

He succeeds Pierre-Marie De Leener, who has held the CEO position on an interim basis since January 2016 and will henceforth focus on his role as Chairman of the Board of Directors of Braas Monier. Together with Matthew Russell, Chief Financial Officer (CFO), Georg Harrasser will form the senior management at Braas Monier.

Georg Harrasser has also been appointed as a member of the Board of Directors. The Board of Directors thus now consists of eight members, including the Chairman of the Board of Directors.

Georg Harrasser started his career at Braas Monier in 1993 and has since held various positions in quality management, plant management and as Industrial Director for concrete and clay tiles as well as CEO positions at Monier Italy and Asia Pacific. Since 2013, he has been Regional President of the Group’s Central, Northern and Eastern European region. Georg Harrasser graduated from the Technical University Munich with degrees in Mechanical Engineering and Business Management.

Source Ziegelindustrie International

20/02/2017

BOUYER LEROUX: Une rencontre professionnelle et un nouveau souffle autour d’un grand match de rugby

Opti-solution a réuni 50 clients, bureaux d’étude, constructeurs de maisons individuelles, entreprises du bâtiment, négociants, dimanche dernier au Stade de France pour une présentation de ses nouveautés 2017, avant d’assister au match du Tournoi des 6 nations opposant l’équipe de France de rugby à celle d’Écosse.


Cette manifestation a été organisée, dans le salon Oxygène du Stade de France haut lieu de l’ovalie européenne. « Le rugby est un sport qui correspond bien aux valeurs de notre marque : coopération, engagement, proximité et convivialité » résume Cyrille Bocquel, Directeur de l’Activité Opti-solution.

Cette opération fut l’occasion d’insuffler un nouveau souffle et de présenter 3 innovations :

  • Innovation système : démonstration devant les clients du système Opti-fix, pour le montage de briques rectifiées. Cette nouvelle colle haute adhérence est prête à l’emploi. 
  • Innovation service : création de la fonction « commerciale sédentaire » qui permet d’offrir un meilleur soutien en complément à l’action des Responsables de secteur, et ainsi de proposer aux clients les solutions techniques et économiques les plus performantes.
  •  Innovation numérique : lancement d’une application originale et moderne qui sera accessible sur tous supports y compris smartphones et tablettes. Elle sera opérationnelle en avril 2017 et favorisera le partage d’informations, la mise en relation des acteurs et le développement des affaires. 


Suite à un début d’après-midi professionnel, les participants ont revêtu leurs habits de supporters pour prendre place dans les tribunes et apporter leur soutien à une équipe de France victorieuse. La journée s’est terminée au terme d’une troisième mi-temps qui aura permis de refaire le match et de célébrer cette première victoire du quinze de France dans le Tournoi des 6 nations 2017.

Source Cécile Roux

19/02/2017

CERITHERM et DIREXA ENGINEERING vous proposent un nouveau concept de four tunnel basse consommation: le four SK

L’EQUIPEMENT DE DEMAIN POUR PRODUIRE MIEUX, PRODUIRE PLUS,CONSOMMER MOINS, POLLUER MOINS…
PRODUIRE DIFFEREMMENT POUR PREPARER L’AVENIR
Le four SK est un four tunnel destiné à la cuisson de produits en céramique.
Sa particularité réside dans le fait que la charge n’est plus embarquée sur des wagons ni supportée et entraînée par des dispositifs traversant les parois.
Le four SK est une solution flexible destinée à l’usage des industriels de tout secteur d’activité.
Les avantages du four SK

  • Une étanchéité parfaite du tunnel de l’entrée à la sortie des produits
  • La possibilité de gérer des atmosphères particulières
  • Une isolation identique et efficace des quatre faces du tunnel : voûte, sole, parois latérales
  • Aucune masse parasite à réchauffer et à refroidir autre que les produits et leurs supports
  • Aucune partie mécanique à préserver de la température de cuisson
  • Aucune limite de largeur

Les bénéfices du four SK pour les clients

  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Flexibilité des cycles de cuisson : cadences, types de traitements thermiques
  • Gain en précision de cuisson
  • Amélioration de la qualité des produits finis, diminution du taux de rebut
  • Gain de productivité, rentabilité produit
  • Réduction des encours
  • Possibilité de cycles courts : l’équipement n’est plus limitant
  • Rentabilité accrue de l’outil de production

Source Ceritherm

18/02/2017

A La Rochelle, les chercheurs offrent une nouvelle carrière aux déchets de béton

Dans le cadre d’un appel d’offres de l’Ademe sur les «Déchets du BTP», les chercheurs du laboratoire des Sciences de l’ingénieur pour l’environnement de l’université de La Rochelle (Charente-Maritime) ont, durant 30 mois, étudié la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers. Ils ont observé des différences d’évolution dans le temps, notamment en termes de portance.

Un programme, baptisé Recyment, a permis aux chercheurs d’étudier durant 30 mois la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers.

Les expérimentations se sont déroulées au sein de Planète Recyclage, un site du groupe Charier et situé à La Rochelle-La Pallice. Spécialisé dans le recyclage des matériaux de déconstruction issus des chantiers du BTP, le centre de 2 ha collecte 40 000 t de produits par an, dont 38 000 t de béton. «Les matériaux sont triés, préparés avant d’être revendus à des entreprises de travaux publics. Nous touchons également les professionnels du bâtiment, les paysagistes et les particuliers avec nos matériaux décoratifs issus du concassage des tuiles et briques», détaille Cédric Couilleau, directeur de Planète Recyclage, et associé à l’expérimentation.

Une portance plus importante

 «L’objectif de ce programme baptisé Recyment était de comparer les résultats avec ceux des matériaux de références issus des carrières», précise Cédric Couilleau. Et les résultats sont surprenants: «La portance, le jour de concassage, est similaire entre les deux types de matériaux. Par contre, après 3 et 8 mois, on note une amélioration plus importante de la portance pour les graves recyclés que pour les produits de carrière», constate le responsable de Planète Recyclage qui poursuit: «Cette découverte nous laisse envisager de revoir, à terme, l’épaisseur des couches de fondation et d’assises des routes».

L’expérience a même démontré qu’avec un ajout de terre cuite, environ 15%, les performances mécaniques des matériaux recyclés s’en trouvaient multipliées. «Reste à comprendre pourquoi», souligne Cédric Couilleau.

Des frais en moins

Quoi qu’il en soit, les différents acteurs de cette expérimentation s’accordent pour dire que «les graves recyclés ne sont pas des sous-produits». Et si leur intérêt écologique n’est pas plus à démontrer, ils peuvent même présenter un impact économique intéressant. «Nous sommes sur un prix équivalent à celui des matériaux de carrière. Mais, pour les entreprises situées loin de ces dernières comme sur La Rochelle ou Bordeaux par exemple, nous évitons les frais de transport», concluent les responsables de l’étude qui vont désormais compléter leur étude et compte bien faire changer les mentalités…


Source LE MONITEUR.FR par Jean-Sébastien Thomas

17/02/2017

Centrafrique : Des artères de Bangui transformées en briqueterie

Certaines avenues et rues de la capitale centrafricaine sont jonchées de briques de construction de maison. Cette situation est déplorée par certains habitants et les autorités administratives.

En cette période de saison sèche, des centrafricains de toutes catégories d’âge fabriquent des briques pour combler leurs économies. Après une investigation du RJDH, des artères de la capitale sont transformées en briqueterie avec des conséquences sur la circulation et la dégradation routière.

Sur la fabrication de briques le long des voies de communication, Gervais Vidrakpadi l’un des briquetiers en se justifiant a expliqué que c’est une activité génératrice de revenus et par manque d’espace, les avenues sont utilisées comme aire de séchage des briques. « Nous étalons nos briques sur les voies publiques parce que nous n’avons pas d’espaces dans nos concessions», a-t-il-dit.

Pour la municipalité, l’occupation de ces artères par les briquetiers occasionne des accidents de circulation. Interrogé par le RJDH, Mme Francette Makake, Maire du 6e arrondissement de la ville de Bangui a déploré la fabrication anarchique de briques sur les infrastructures publiques. Elle a demandé « aux fabricants de ne pas étaler leurs briques sur les voies publiques car cela créé souvent des accidents de routes » avant de les demander « de faire cela dans leurs concessions».

Pour mettre un terme à cette pratique anarchique qui dégrade les voies de communication et les canalisations, Mr Samson Manguesazon, conseiller municipal à la mairie du 6e arrondissement de Bangui, a rapporté que le Maire de Bangui appliquera l’Arrêté municipal portant interdiction de la fabrication des briques dans la capitale.


Source le Journal de Bangui par RJDH

ALGERIE: Deux lignes Sabo à la briqueterie BGO de Touggourt

Dans le cadre de son nouveau projet basé en Algérie, la briqueterie BGO Touggourt dirigée par M.Sadoudi Laid, a de nouveau fait appel à Sabo pour moderniser son parc machines. Le client était à la recherche d’une solution technique qui incluait la mise en place de deux lignes de production, chacune de 800 T/j, à installer dans un espace de fabrication très limité.

Sabo, qui propose des solutions d’usines clés en main pour l’industrie de la terre cuite, a démarré la première phase de travaux en octobre 2016. Le projet sera complété dans un deuxième temps pour amener la production de briques à 1 600 tonnes/jour.

Séchoir et four
Pour réaliser ce projet, Sabo a livré un séchoir rapide doté de 64 balancelles, de 6 m de large et d’1,1 m de long. Le séchoir a été paramétré pour s’adapter à l’espace restreint mais l’utilisation des robots est restée identique.

Le wagon de four de 6,8 m de large et 4,2 m de long peut empiler 18 paquets pour une hauteur totale de 1,8 m. Pour répondre aux objectifs de production, le temps de poussée est d’environ 12 m pour la brique B08 et un peu moins de 10 min pour la brique B12. Le four mesure 150 mètres de long, assure un temps de cuisson suffisant et permet de conserver les tuiles à l’intérieur du four afin de garantir une bonne cuisson tout au long du processus.

Le système de récupération d’énergie a été redessiné en tenant compte du tunnel du four mais également de l’air sous les wagons et au niveau de la voûte du four. Cela assure une meilleure consommation de l’énergie mais aussi une économie d’énergie pour le client.

La zone d’emballage a également été reconfigurée pour s’adapter aux trois lignes de dépilage dont deux qui créent des paquets cerclés comprenant des trous pour pouvoir être manipulés par les chariots élévateurs. La troisième ligne permet de fournir des produits en vrac.
Après un mois de mise en production, le projet a donné un résultat assez satisfaisant en réalisant près de 70 % des objectifs prévus dans le contrat, et en travaillant avec deux postes/jour au lieu de trois.

Source Industrie Céramique et Verrière

16/02/2017

Exposition Marseille: "Entrée en matière"

À l’occasion de l’exposition Entrée en matière, Voyons Voir se retourne sur sept années de résidences artistiques menées au sein du Centre Richebois (1), et regarde en même temps vers l’avenir par le scellement d’une collaboration qui se poursuivra désormais sur les cimaises de la nouvelle salle d’exposition inaugurée la semaine dernière sur les hauteurs de l’Estaque…

...

Enfin, présentée par Arnaud Vasseux, Table Séon #1 déroge à la règle puisque l’œuvre a été réalisée lors de sa résidence à la Tuilerie Monier réalisée en 2014 sur l’invitation de Voyons Voir. Arnaud Vasseux y poursuivait son exploration des matériaux et des différents processus qui engendrent une forme (sculpturale) au sein d’une usine qui travaille donc exclusivement avec l’argile, matériau à prise lente dans lequel l’histoire de la forme se raconte et laisse l’empreinte de son processus. C’est précisément d’une trace que l’artiste tente de se saisir, de maintenir et de restituer, celle de l’ouvrier qui trie les tuiles non conformes et qui se saisit de la plaque pour les extraire, laissant s’imprégner le geste qui entérine l’exclusion. Sur ces nouveaux chemins, quelle chance d’y croiser celui qui par nature est en marge, qui par nature est différent, qui par nature est exclu (au moins symboliquement) : l’artiste.
Céline Ghisleri

(1) Centre de réadaptation professionnelle Richebois
Entrée en matières, avec vue imprenable : jusqu’au 29/03 au Centre Richebois (80 impasse Richebois, 16e). Rens. : 04 91 09 48 00 / http://www.voyonsvoir.org

Source Marsactu

15/02/2017

Matériaux de construction/ Bourgogne Franche-Comté : enfin un scénario de croissance optimiste !

Ce n'était pas arrivé depuis 2008. La filière Carrières et matériaux de construction en Bourgogne Franche-Comté devrait renouer avec une tendance à la hausse en 2017 selon une étude du Pôle interministériel de prospective et d'anticipation des mutations économiques réalisée en 2015 par l'Union nationale des industries de carrière et matériaux de construction Bourgogne Franche-Comté (Unicem).

Cinq ans après la parution du Livre Blanc 2030 de la filière, des quatre scénarios examinés, il apparaît qu'une croissance économique n'est pas suffisante sans politique industrielle forte pour accompagner la filière. Le scénario le plus prévisible en 2017 devrait en effet ressembler au scénario n°3 de l'étude :

Reprise de la demande économique, mais :


  • Commande publique atone (pendant la campagne présidentielle),
  • Politique environnementale forte et hausse du coût du CO2,
  • Diminution de l'accès à la ressource, notamment les carrières de granulats. 
  • En termes d'emploi, l'embellie prévue en 2017 devrait générer la création d'emplois en Bourgogne Franche-Comté, liée à la fois à une légère croissance et à la mise en place de nouveaux métiers dans le cadre de l'économie circulaire. 


12 propositions d'actions présentées en Bourgogne Franche-Comté 

Le 23 février prochain, l'Unicem présentera aux pouvoirs publics un premier bilan des actions déjà mises en œuvre pour préserver la filière et préparer les conditions d'une reprise de la croissance. Et ce n'est pas tout. Douze propositions d'actions seront proposées dont plusieurs concernent la région Bourgogne Franche-Comté.

Source: Macommuneinfo

14/02/2017

Social Housing becomes a firm focus for Wienerberger

In a bid to support government targets to help with the sustainable supply of best value social housing, Wienerberger has announced a significant investment into this sector across the UK.

The outlay sees the manufacturer venturing into the social housing sector, with the appointment of a new social housing team. Heading up the division is John Harris, national sales manager, who offers a wealth of product and regional knowledge as a result of 30 years’ industry experience, 15 of which are with Wienerberger’s Sandtoft Roof Tiles.

Working with Mr Harris, business development manager John Christopher, and business development manager Mark Mayatt also join the team. Mr Christopher will be utilising his 25 years’ experience to assist in providing technical expertise across social housing in the North and Midlands. Mr Mayatt is based in London and brings 30 years’ experience in the sector – providing the new team with national coverage.

Discussing the impact that the new investment will have on the sector, Mr Christopher said: “Quality social housing design and provision is vital to ensure we are offering the best long term value to both providers and their customers/tenants. By setting up a specialist arm, Wienerberger is working to address this and act as a consultant for the sector. We want to set a newbuild standard that focuses on improving quality of the built environment and the lives of social housing tenants.

“Creating a social team of specialists is key to making this happen and compliments our existing efforts to deliver a more sustainable and accessible future for housing, via innovations such our industry acclaimed e4 house. Our new team will take time to really understand the needs of this industry, by working in partnership with associations to deliver long-term value and assurance - helping to deliver a new vision for social housing.”

Source Buildersmerchantsnews

13/02/2017

Xavier Janin nouveau directeur général France d’Eternit France

Xavier Janin a rejoint Eternit France, filiale du groupe ETEX. Il est nommé au poste de directeur Toiture Etex Europe de l'Ouest et Directeur Général Eternit France. Il a en charge d’impulser une nouvelle dynamique à ce spécialiste des produits de toiture en fibro-ciment. Eternit, dont le nom est presque centenaire, est un spécialiste des produits de couverture, de bardage et d’autres produits pour le bâtiment, tous en fibro-ciment.

Xavier Janin, ingénieur de Centrale Paris, a débuté sa carrière chez Dalkia, puis comme consultant chez McKinsey. Il a ensuite rejoint le groupe Lafarge, où il a assumé un poste de directeur régional des ventes, et découvert les métiers de la couverture à cette occasion. Il a ensuite donné un tournant international à sa carrière en prenant en charge successivement en Inde puis en Malaisie le développement de Braas-Monier, la nouvelle société issue de Lafarge Couverture, et ce pendant plus de 6 ans.
Il a ensuite pris la responsabilité commerciale de la zone Europe du sud pour Armstrong Ceilings, spécialiste des plafonds acoustiques.
Il a quitté les domaines du toit et du plafond pour rejoindre Xylem, un spécialiste de la gestion de l’eau.

Chez Eternit France, Xavier Janin va devoir relevé le défi d’accélérer la croissance de la société, dans le contexte d’un marché de la couverture qui a été relativement déprimé ces dernières années, à l’image du marché du bâtiment. S’ajoute à cela le fait que la part de l’amélioration-entretien, autrement dit la rénovation, ne sera pas la partie la plus dynamique du marché en 2017 (cf. chiffres de la FFB).

Néanmoins Xavier Janin fait preuve d’optimisme et de volontarisme. « Avec une équipe de direction renforcée, Eternit France est au cœur de la nouvelle division toiture récemment créée au sein du groupe Etex. Avec l'ambition dès 2017, d'améliorer notre offre de services clients, d'apporter de nouveaux produits et de proposer des solutions de toiture complètes, Eternit France veut conforter sa position de leader sur les marchés agricoles et résidentiels. Cet objectif s'appuie sur la stratégie et les valeurs du groupe Etex... »

A propos d’Eternit 

Membre du Groupe Belge ETEX, ETERNIT France développe des systèmes de construction innovants et performants pour la toiture, la façade et l'aménagement intérieur. Au travers de ses différentes gammes, ETERNIT France apporte des solutions à l'ensemble des marchés, résidentiel, tertiaire, agricole et travaux publics, en veillant à adapter ses produits et solutions aux particularités de chacun. 

Source Batiweb

LINGL AU SALON BATIMATEC 2017 – UN DES SALONS LES PLUS IMPORTANTS DANS CETTE ANNÉE


L’entreprise allemande Hans LINGL Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG sera présente avec ses produits et sa nouvelle filiale de service „SARL Lingl Algeria“ au salon BATIMATEC de cette année du 23 au 27 avril 2017. LINGL est l’un des premiers fabricants de machines et d’installations d’envergure internationale et propose des solutions et un savoir-faire très développé autour de la chaîne de valorisation de la production céramique.


Le thème principal de LINGL au salon sera des projets avec des machines et des installations ainsi que des solutions techniques développées spécialement pour l’industrie algérienne de la céramique du bâtiment. Celles-ci comprennent notamment des concepts d’installation innovateurs pour la production efficace des briques comme par exemple réalisé dans la Briqueterie Tidjelabine récemment inaugurée. L’usine compte parmi les plus grandes lignes de production installées en Algérie et est équipée d’un séchoir rapide en forme de U séchant les briques en seulement 3 heures. Ce concept d’usine mis en pratique pour la première fois est peu encombrant et très économique – toutes les machines de manutention sont centralisées de sorte que toute la production peut être contrôlée par deux personnes pour l’essentiel.


En outre, LINGL présentera ses prestations de service élargies aux visiteurs du salon BATIMATEC. L’Algérie compte parmi les marchés les plus importants pour LINGL. C’est pour cette raison que l’entreprise a récemment étendu son réseau de service en fondant une filiale de service locale, „SARL Lingl Algeria“. L’accent sera mis sur l’approvisionnement rapide et facile des clients en pièces de rechange et d’usure ainsi que sur le traitement des interventions de service incluant entre autres la maintenance des robots et des installations, le dépannage et la formation.

Source LINGL