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19/04/2024

Autriche: Record du monde de hauteur pour une construction en briques

2 immeubles de 8 étages sont actuellement en cours de construction dans le quartier Wildgarten à Vienne avec des briques monomur.

La construction en brique s’est énormément développée ces dernières années afin de répondre aux enjeux de la construction urbaine. 

Cela nécessite essentiellement de construire plus haut.

Plus de 205 000 briques wienerberger seront utilisées dans les 14 bâtiments. 

Source LinkedIn

18/04/2024

La tuilerie Lambert va de l'avant

Le fabricant de tuiles et accessoires de couverture située à Saint-Adjutory mène depuis plusieurs années une politique d'investissement dynamique.

Aurélien et Marie-Bernadette Baluteau, devant l'entrée de leur tuilerie à Saint-Adjutory.

"Il y avait 27 petites tuileries comme nous, il y a 45 ans en Poitou-Charentes. Nous sommes restés indépendants et à taille humaine", présente Aurélien Baluteau, gérant de la tuilerie Lambert à Saint-Adjutory. Aux côtés de sa mère, Marie-Bernadette, il représente la sixième génération à la tête de l'entreprise familiale, productrice de tuiles et accessoires de couverture en argile pur. Ils emploient 8 personnes. La tuilerie produit 13 000 tuiles par jour (modèles de 40, 50 cm... de différentes couleurs, chapeaux, etc.) et 5 000 accessoires par semaine (murets, faîtières). Son chiffre d'affaires a atteint 2,750 millions d'euros en 2023, contre 1,760 million en 2022. "Nos clients sont principalement des négociants, des artisans. Nous travaillons en local : Poitou-Charentes, Vendée, la région bordelaise, la Dordogne... Mais nous avons aussi à notre actif de jolis chantiers à travers le monde...".

Source CaracTerres par Etienne Sautereau 


17/04/2024

Matériaux de construction : Stéphane Bijoux dénonce « l’imposture de l’extrême droite »

Dans un communiqué, le député européen Stéphane Bijoux salue la décision du Parlement à Strasbourg d'autoriser le commerce de produit de construction sans marquage "CE" pour l'Outremer.

Le Parlement européen vient de réviser à une très large majorité (505 pour, 40 contre et 78 abstentions) le Règlement européen sur les produits de construction. Grâce à cette nouvelle législation, les produits de construction mis sur le marché dans les Régions Ultrapériphériques auront la possibilité d’être exemptés des exigences du marquage européen « CE ».

Le Député réunionnais Stéphane BIJOUX souligne que cette adaptation concrétise une mesure annoncée par le Gouvernement dans sa feuille de route du Comité interministériel pour les Outre-mer (CIOM) en juillet 2023 : « Sous l’impulsion du Gouvernement et avec notre mobilisation au sein des Institutions Européennes, c’est un nouvel engagement qui est tenu pour les Outre-mer, en cohérence avec le cap tracé par le Président Emmanuel MACRON pour le développement de nos territoires. Cette démarche a été fortement soutenue par Marie GUEVENOUX dès sa prise de fonction au Ministère des Outre-mer. »

Selon le Député ultramarin, cette adaptation de la législation marque aussi une nouvelle victoire du « Réflexe Outre-mer » qu’il défend au Parlement européen depuis 2019 pour une meilleure prise en compte des réalités locales et pour la valorisation des atouts ultramarins. Stéphane BIJOUX pointe l’abstention des Députés du Rassemblement national lors du vote final en session plénière : « L’adaptation des normes européennes aux réalités locales est une demande forte du monde économique et en particulier du secteur de la construction qui est confronté à la hausse des prix du fret et des matériaux. Ce vote démontre une nouvelle fois l’imposture et le mépris de l’extrême droite pour nos territoires ultramarins. »

Stéphane BIJOUX le redit : « Nous avons besoin d’Europe. Une Europe qui prend en compte nos réalités locales et qui confirme son rôle de partenaire indispensable du développement économique et de l’insertion régionale à La Réunion et dans tous les Outre-mer que je défends au Parlement européen ».

Source Zinfos974


16/04/2024

Poussière, nuisances sonores… : dans l’Eure, le projet de carrière à Cahaignes reste contesté

À Cahaignes (Eure), le préfet a accordé son autorisation pour l’exploitation d’une carrière d’argile au cœur de ce petit coin de nature, malgré l’opposition du conseil municipal de Vexin-sur-Epte et d’une large majorité des habitants. Réunis au sein d’une association, les opposants au projet réfléchissent aux suites à donner à leur combat.

Depuis près de deux ans, les opposants au projet de carrière d'argile à Cahaignes se mobilisent. Et malgré l'autorisation d'exploitation accordée par la préfecture, ils réfléchissent aux suites à donner à leur contestation.

Du côté de Cahaignes, petit village intégré au sein de la commune de Vexin-sur-Epte (Eure), le débat autour de la création d’une carrière d’argile pour le compte de la société Terréal est-il arrivé à son terme ? Du côté de la préfecture, la décision d’autoriser son exploitation a été rendue à la mi-mars. Une déception pour les membres de l’association Vexin Nature Qualité de vie, créée en 2022 pour fédérer les opposants au projet. « Nous avions été reçus en préfecture quelque temps auparavant. Et nous savions que la tendance ne nous était pas favorable », regrette Alain Riou, l’un des fers de lance de la contestation qui a décidé de passer la main lors de la prochaine assemblée générale qui doit se dérouler courant avril.

Jérôme Richard, le maire adjoint en charge de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, n’est pas véritablement surpris lui non plus. « Nous savions que les deux avis défavorables rendus par notre conseil municipal étaient uniquement consultatifs. Mais pour nous il était important d’une part de nous faire l’écho du ressenti des habitants. Et de l’autre de faire pression pour que, si cette carrière devait un jour exister, son exploitation soit la moins impactante possible », assume l’élu qui n’a jamais caché ses réserves sur un projet qui selon lui « n’a aucun intérêt pour la commune, mais seulement pour Terréal ».

En ce sens, la municipalité et les opposants à la carrière ont été en partie entendus depuis la première enquête publique qui avait mis le feu au poudre au printemps 2022. Alors que les limites d’exploitation devaient se situer à moins de 70 m des premières habitations, elles ont été reculées à 330 m. Une trame verte est prévue sur la bande de terre qui sépare les deux zones sur une surface de 4 ha et une nouvelle voie d’accès doit être aménagée par Terréal pour éviter aux camions de traverser le village. Par ailleurs, la durée d’exploitation a elle été divisée par deux, passant de 30 à 15 ans. « Si ce projet avait été présenté sous cette forme-là au départ, il aurait peut-être été accepté plus facilement », regrette l’adjoint, préférant regarder le verre à moitié plein.

Un recours dans les semaines à venir ?

Une vision que ne partage pas forcément Alain Riou qui voit lui plutôt le verre à moitié vide et les conséquences pour ce petit coin de nature préservé auquel il est attaché : « Pour faire la nouvelle route, il va valoir prendre trois hectares de terrain. Et les nuisances sonores, la poussière, tout cela va exister même si la carrière est plus éloignée des premières maisons ». Quant à l’interdiction pour Terréal de demander une extension géographique du périmètre d’extraction prévue dans l’arrêté préfectoral, Alain Riou se montre sceptique. « Dans quinze ans, qui nous dit que la position actuelle des services de la préfecture n’aura pas évolué… »

Cette analyse de la situation pousse d’ailleurs les membres de Vexin Nature Qualité de vie à se réserver le doit de déposer un recours dans les semaines à venir. Quant à la municipalité, elle a décidé de faire évoluer son plan local d’urbanisme « pour sanctuariser les terres autour de la carrière et acter sa non-extension », selon Jérôme Richard qui rappelle au passage qu’à l’origine l’ouverture du site aurait dû avoir lieu en mars de cette année. Et pour l’heure, il assure n’avoir aucune idée du calendrier des futurs travaux.

Source Le Parisien par Laurent Derouet 

15/04/2024

EDILIANS lance le PASS SOLAIRE : un accompagnement pour aider les couvreurs à devenir des experts du toit solaire !...

Edilians est une marque de référence pour les toitures en terre cuite, la rénovation énergétique et le solaire photovoltaïque. Expert de la toiture en France au travers de ses 9 appellations de terroir depuis 1811, et pionnier de la tuile solaire photovoltaïque universelle depuis 2002, Edilians crée aujourd’hui des solutions de toitures innovantes et durables au cœur de l’éco-habitat.

Alors que la rénovation énergétique est incontournable et que le photovoltaïque est en très forte croissance pour répondre à un double besoin de réduction des factures d’énergie et d’autoconsommation, certaines entreprises de couverture hésitent encore à se diriger vers le solaire qui peut leur sembler complexe. Pourtant, en tant que garant de l’étanchéité de la toiture, intégrer cette prestation à celles qu’elles proposent déjà est plus que légitime. Aussi, EDILIANS, pionnier sur ce marché depuis plus de 20 ans avec une gamme de tuiles solaires et de panneaux intégrés au bâti, a décidé de les aider à démarrer cette activité en lançant le PASS SOLAIRE.

S’inscrivant dans la continuité de la signature de son partenariat avec APRIL Construction en début d’année afin de faciliter l’accès assurantiel aux professionnels, le PASS SOLAIRE est un accompagnement complet de A à Z pour devenir autonome dans la vente et la pose de systèmes photovoltaïques. Ce parcours personnalisé comprend tous les volets nécessaires pour développer une activité solaire avec :

  • une assistance assurantielle avec explication des démarches à effectuer pour bénéficier d’une couverture adaptée, point crucial dans le cadre du développement de cette nouvelle activité, avec possibilité d’être mis en relation avec APRIL Construction et de bénéficier de règles de souscriptions assouplies et de tarifs négociés par EDILIANS,
  •  une formation technique certifiante pour obtenir l’habilitation BP, obligatoire pour l’installation d’équipements photovoltaïques ainsi que la qualification QualiPV Bat sous forme de stage théorique et pratique, respectivement d’une durée d’un jour et demi et de 3 jours,
  • une formation à la pose des solutions de tuiles et panneaux solaires d’EDILIANS en situation réelle accompagnée d’une attestation de formation à leur mise en œuvre, document demandé dans les avis techniques et souvent par les assurances,
  • une journée de formation à la vente et au Simulateur Solaire, avec présentation de l’offre EDILIANS et de ses avantages,
  • un accompagnement sur la première vente et le premier chantier solaire photovoltaïque par un commercial et un technicien expérimentés d’EDILIANS.

Les éléments pertinents de cet accompagnement sont définis lors d’un entretien initial en fonction des besoins de l’entreprise, il est donc tout à fait personnalisé.

En déployant ce service complet, EDILIANS illustre une fois de plus sa volonté, au-delà de sa large gamme solaire résidentielle, de proposer un accompagnement complet de A à Z pour aider les professionnels à devenir des experts de la rénovation globale de la toiture. Destiné à développer et soutenir leur activité, le PASS SOLAIRE garantit en plus à leurs clients particuliers un toit solaire fiable et étanche, performant et durable, tout étant esthétique.

Source André Sudrie

14/04/2024

La briqueterie familiale de Pottenbrunn perpétue la tradition et cuit dans le dernier four circulaire d'Autriche

Quiconque a déjà pris le train pour traverser Pottenbrunn a remarqué la haute tour juste à côté de Geberit. C'est l'une des dernières briqueteries d'Autriche qui brûle encore traditionnellement à la main et dans un four circulaire.

Monica Nicoloso décroche toujours immédiatement le téléphone. Qu'il s'agisse de l'œuvre d'art de la nouvelle Europaplatz, que la briqueterie Nicoloso a contribué à concevoir. Ou bien prendre rendez-vous pour une visite de l'usine afin de découvrir les coulisses de l'entreprise traditionnelle Pottenbrunner. La question qui me vient à l’esprit : comment tout cela se passe-t-il ? Elle dirige l'entreprise en grande partie seule avec son père Vittorio Nicoloso, retraité depuis des années.

L'immense domaine comprenant la carrière d'argile, le dernier four circulaire d'Autriche, les demandes de particuliers de tout le pays et de l'Office fédéral des monuments, les voyages en Italie auprès d'entreprises de coopération. Monica Nicoloso gère tout cela.

Elle a « grandi » avec le métier, comme elle le dit. Son grand-père est arrivé à Pyhra à la fin des années 1950 ; la famille Nicoloso travaillait comme briquetier en Italie depuis plus de 400 ans. En 1975, le père Vittorio Nicoloso a repris la briqueterie de la commune de Pottenbrunn, qui se trouvait alors encore à l'époque, juste à côté de la ligne ferroviaire de l'Ouest.

Dernier four annulaire en Autriche

«C'est la seule entreprise en Autriche qui existe sous cette forme», explique Monica Nicolso. Le four circulaire, vieux de 150 ans, est le dernier en Autriche à être équipé à la main et encore utilisé pour la cuisson. Mais au début des années 2000, la famille a dû réfléchir aux mesures à prendre pour rendre l’entreprise viable.

Il a donc été décidé de passer de la production de briques pour la « construction de maisons » à des produits sur mesure et de créer une entreprise de briques. Le personnel qui partait à la retraite n'était plus pourvu et la production devint peu à peu plus petite et plus spécialisée. Néanmoins : « C’est un défi de préserver les bâtiments anciens ici sur le site. »

Des briques pour cuisines extérieures, caves à vin, fours à pizza et bien plus encore sont désormais fabriquées à Pottenbrunn. Et pour les bâtiments historiques comme le château de Schönbrunn, le cimetière central de Graz ou les viaducs de Mattersburg. Nous travaillons pour cela avec l’Office fédéral des monuments. Les défis sont de taille : les briques doivent correspondre au reste du bâtiment historique en termes de couleur, de forme et de texture. « Autrefois, les couleurs émergeaient naturellement de l'argile, mais aujourd'hui elles sont imitées avec beaucoup d'expérience », explique Nicoloso.

Les briqueteries ont été créées là où il y avait de l'argile. L'argile de Pottenbrunn est également directement à l'origine de la production. L'emplacement était donc idéal : les rails passent également juste à côté.

Le processus pour une brique est toujours le même : les briques sont produites, séchées et cuites. Il existe des modèles pour la forme. Leur fonctionnement est similaire à celui des moules à gâteaux : à la place de la farine, on saupoudre du sable pour que l'argile ne colle pas. Ensuite l'argile arrive, est retournée, séchée et cuite.

Une grande variété de produits sur mesure sont fabriqués à Pottenbrunn

C'est à cela que sert le grand four circulaire de Pottenbrunn. Si vous le cherchez, vous ne devriez pas pouvoir voir le four à cause de toutes les briques. Car le grand « bâtiment » rond situé juste à côté de la cheminée n'est pas vraiment un bâtiment, mais le four lui-même : environ 70 mètres de diamètre, deux niveaux, des chambres de combustion différentes.

« Le four fonctionnait du début à la fin de la saison, sept jours sur sept, 24 heures sur 24. Aujourd'hui, selon les besoins », explique Monica Nicoloso.

Lors des visites, Monica Nicoloso conduit les invités dans une chambre du four à briques ; dès que la lumière s'allume, un mur de briques se révèle et la taille du four devient encore plus claire. Théoriquement, vous pourriez même marcher en rond, d’où le four « à anneau ».

Une science et un métier qui s'enseigne aux classes scolaires, aux étudiants et même aux architectes lors de visites guidées. Le four circulaire et la briqueterie sont un morceau d'histoire vivante qui peut encore être vu de près à Pottenbrunn.

Source Noen

13/04/2024

La briqueterie Gauvrit à Aizenay accueillait la Journée européenne des métiers d’art

Pour la Journée européenne des métiers d'art, la briqueterie des frères Gauvrit ouvre ses portes à Aizenay. L'occasion de découvrir une histoire riche enracinée dans l'argile.

La briqueterie Gauvrit créée en 1868 accueillait ce 6 avril neuf exposants et proposera des ateliers de terre cuite. 

Si la briqueterie des frères Gauvrit a été retenue par la mairie d’Aizenay pour accueillir la Journée européenne des métiers d’art, samedi 6 avril, c’est qu’elle est d’envergure internationale.

Tout a commencé en 1868, avec désormais la sixième génération aux commandes d’une entreprise familiale. Le four à cuisson de Pierre Gauvrit est d’époque. Ce sont maintenant Jean-Paul et Pascal Gauvrit, ses descendants, qui le font fonctionner.

« Avec mon frère, nous produisons des briques en terre cuite », résume Jean-Paul. « Nous travaillons beaucoup sur les Monuments historiques. Notre cocorico national, c’est ça ! Mais nous sommes en relation avec la Belgique, l’Angleterre, l’Allemagne, le Luxembourg, la Suisse, l’Autriche, l’Espagne, l’Ukraine… »

La liste est longue comme le bras. Grâce à des coups de projecteurs donnés sur le travail réalisé pour les châteaux de Fontainebleau et de Chambord, le Musée de la libération aux Invalides, l’ancien théâtre de La Roche-sur-Yon, le phare de la Baleine sur l’île de Ré et le logis de la Chabotterie.

Tuiles, carreaux, briques

La gamme de produits étendue des tuiles aux carreaux de terre et aux fameuses briques est produite sur place.

« Si notre ancêtre s’est installé à Aizenay et que nous y sommes restés, c’est qu’il y a un gisement important d’argile tout autour de la forêt », témoigne Jean-Paul Gauvrit. « Il faut comprendre qu’en 1868 à la création, il y avait 120 tuileries en Vendée. Nous sommes aujourd’hui une vingtaine en France. »

La carrière permet de récolter en surface encore 60 à 70 % de l’argile nécessaire. « Le reste vient d’autres départements ou d’ailleurs », constate le briquetier.

Comment expliquer que la demande afflue toujours autant ? « Il faut reconnaître nos qualités. La première, c’est la terre. Nous savons la cuire. Il y a aussi notre savoir-faire. Et le fait de trouver l’adéquation entre la terre et le produit final. On essaye de travailler consciencieusement et le résultat dépasse nos espérances ! »

Au point d’obtenir en 2009, 2014 et 2022 le label Entreprises du Patrimoine vivant. Et d’avoir donné l’exemple à la 7e génération, encore jeune, mais attirée par l’activité. « Une partie de cette génération est encore étudiante », sourit Jean-Paul Gauvrit.

« Le plus jeune à 8 ans. Il veut écrire à Emmanuel Macron pour avoir une autorisation présidentielle permettant de commencer à travailler la brique plus tôt que les autres… »

Au programme de la Journée européenne des métiers d’art

Si la Journée européenne des métiers d’art a vu le jour en 2002, ce n’est que sa troisième édition qui a eu lieu à Aizenay, samedi 6 avril. Avec en site d’accueil la briqueterie des frères Gauvrit, à la Gombretière.

Le thème : Sur le bout des doigts. Et des portes qui s’ouvrent de 10h à 13h et de 14h à 18h aux Terres cuites d’Aizenay, pour accueillir neuf stands de créateurs complétant la présentation des briques locales.

Sur place, une tapissière décoratrice, un potier, un boulanger qui font déguster des fouées, un sculpteur, un maroquinier-sellier ou encore une adepte du crochet, un vannier, un ébéniste d’art et une démonstration de taille de pierre et dentellière.

Pour faire des étapes entre les flâneries d’un stand à l’autre ? Des ateliers enfants tenus par l’association Familles rurales et le Conseil des Sages à 10 h 30, 11 h 30, 15 h 30 et 16 h 30. Ceci pour pratiquer gratuitement la composition florale. En parallèle, Jean-Paul et Pascal Gauvrit, propriétaire des lieux, assureront des visites guidées toute la journée.

Journée européenne des métiers d’art, samedi 6 avril, à la briqueterie Gauvrit, 1 rue des Chaufourniers, Aizenay.

Source Actu

12/04/2024

Cosmec reçoit une nouvelle commande de Wienerberger

La commande concernait l’installation d’équipements de manutention automatisés modernes dans l’une des installations autrichiennes du groupe.

Cosmec a récemment démarré une nouvelle ligne de production de produits de parement pour Wienerberger, le leader mondial des matériaux de construction.

Le projet, réalisé dans l’une des installations autrichiennes du groupe, prévoyait l’installation d’une ligne automatique de manutention de briques conçue pour les produits particulièrement difficiles à manipuler en raison de leurs différentes formes et tailles. Une étude préliminaire détaillée, réalisée en étroite collaboration avec le service technique de Wienerberger, s'est avérée cruciale pour la réussite du projet.

Le système utilise un logiciel simple et intuitif et des dispositifs de communication homme-machine pour garantir une facilité d'utilisation, tandis que sa capacité à réduire les arrêts de ligne garantit une efficacité maximale de l'usine et une réduction des coûts de production.

Source CeramicWorldWeb

11/04/2024

Nouvelle-Zélande : la Commission autorise une joint venture d'entreprises de briques en terre cuite

La Commission du commerce de Nouvelle-Zélande a autorisé CSR Building Products Limited et Brickworks Building Products (NZ) Limited à créer une coentreprise pour fournir des briques en terre cuite en Nouvelle-Zélande. 

Le Dr Mark Berry, président de la Commission du commerce, a déclaré qu'il était peu probable que l'accord réduise sensiblement la concurrence sur le marché néo-zélandais pour la fabrication, l'importation et la fourniture de briques en terre cuite.

Source Pysmts


10/04/2024

Matériaux de construction: La crise va s’accentuer en 2024

La crise du secteur des matériaux de construction va s’accentuer en 2024, conséquence logique du recul de l’immobilier, estiment les professionnels dans une enquête publiéepar une association des industriels du secteur (AIMCC).

En 2023, 86% des acteurs interrogés dans cette enquête « ont connu une baisse d’activité« , dont 47% ont enregistré une baisse supérieure à 5%. Pour 2024, la proportion des acteurs qui s’attendent à une baisse prononcée de leur activité grimpe à 73%, selon cette enquête à laquelle près de trois quarts des organisations professionnelles du secteur ont répondu.

La baisse de la demande au centre des préoccupations

Parmi les principaux freins à l’activité dans les mois à venir, « les contraintes financières (difficultés de trésorerie, endettement) et la baisse de la demande sont très largement au centre des préoccupations des industriels« , a indiqué l’Association française des industries des produits de construction (AIMCC) dans un communiqué.

En conséquence, ils réclament aux pouvoirs publics un « soutien à l’activité des entreprises« , avec une « politique de la relance (de l’immobilier) neuf et des rénovations d’ampleur« .

« L’absence de politique claire concernant le logement » des derniers gouvernements « a été un facteur aggravant de la crise qui s’annonce« , a déploré Philippe Gruat, président de l’AIMCC, lors d’un point presse.

Il a toutefois salué les annonces du Premier ministre Gabriel Attal, sur la « simplification des normes », tout en attendant de voir comment le gouvernement compte les appliquer.

Des marges en baisse

Le chiffre d’affaires du secteur est resté en revanche relativement stable en 2023, un constat qui s’explique par la répercussion de l’inflation des coûts de production sur les prix de vente, selon l’AIMCC. Toutefois, cette répercussion n’est que partielle et il y a « une baisse de marge très claire dans l’industrie« , souligne-t-elle.

Les perspectives sont un peu hétérogènes, selon le type d’acteur, une partie des entreprises du gros œuvre (filière du béton) anticipant une baisse supérieure à 15%, alors que le second œuvre (isolation, plâtre, fenêtres) prévoit des baisses n’allant « pas au-delà de 15%« , précise l’AIMCC.

Pour autant, la majorité (60%) des entreprises interrogées estiment que cette crise n’aura pas d’impact significatif sur leurs effectifs permanents, lesquels devraient « rester stables, voire progresser en 2024, malgré la conjoncture« .

Cela s’explique par le fort recours du secteur à l’intérim, premier « levier » de baisse des effectifs cité par les entreprises pour s’ajuster.

La transition écologique, une priorité de long terme

Concernant la transition écologique du secteur et sa décarbonation, elle demeure une « priorité de long terme« , selon M. Gruat, qui a toutefois prévenu que « lorsqu’une crise de ce niveau là se profile, la première action, c’est aussi la survie de nos entreprises et la solidité de leurs bilans« .

Enfin, s’agissant de l’objectif fixé par le gouvernement de 200.000 rénovations thermiques d’ampleur, il ne pourra être atteint que sous réserve de mesures complémentaires, notamment « un dispositif d’octroi des aides et d’accompagnement rapidement opérationnel et efficace » et un renforcement de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) « pour faire face à l’afflux de dossiers« .

Source MySweetImmo

09/04/2024

Bienvenue à Munich - bienvenue à Ceramitec 2024 !

 Maritta Lepp, directrice de l'exposition Ceramitec, Messe München GmbH

Ce sera bientôt à nouveau le moment : ceramitec ouvre ses portes et promet d'être LE rendez-vous de tous ceux qui s'intéressent aux technologies, innovations et matériaux liés à la céramique et à leurs applications.

Nous attendons plus de 470 exposants venus de 37 pays, dont 175 issus des seuls secteurs de la céramique d'argile lourde et des matières premières et additifs. Parmi eux, plus de 60 exposants participent au salon pour la première fois ou y reviendront après 2018. Nous sommes bien entendu très heureux de cet engagement aussi fort envers ceramitec.

Avec une part internationale de 65 pour cent des entreprises participantes, nous sommes sans aucun doute à la hauteur de notre prétention d'être le salon leader international. Cette diversité d'exposants n'attire pas seulement à Munich des visiteurs professionnels du monde entier. Il promet également un large éventail d’innovations et de solutions aux défis actuels auxquels l’industrie est confrontée, tels que les prix élevés de l’énergie, l’inflation et la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. Il est tout aussi important que les entreprises mettent en place des processus de production plus durables et s’adaptent aux exigences de la numérisation.

ceramitec offre précisément les meilleures conditions pour répondre à ces questions : il ne s'agit pas seulement d'un salon, mais aussi d'une référence et d'une source d'inspiration importante pour le développement futur de l'industrie céramique. Notre programme de conférences « Ceramitec talks », avec un total de 30 présentations prospectives dans deux forums, servira de plate-forme de transfert de connaissances et de mise en réseau. Le thème dominant sera l’utilisation efficace des ressources. De tout nouveaux matériaux, technologies et procédés entreront en scène.

Enfin, le parallélisme renouvelé avec analytica, le salon leader mondial des technologies de laboratoire, de l'analyse et de la biotechnologie, constitue un autre point fort pour nos participants, en particulier ceux du secteur des argiles lourdes et des matières premières. Cette colocalisation a déjà fait ses preuves en 2018 et 2022 et offre des synergies pour les exposants et les visiteurs des deux salons.

Comme vous pouvez le constater, il n’y a pas de meilleure opportunité d’obtenir des informations complètes, de réseauter et de vous positionner pour l’avenir en peu de temps. Cela est particulièrement précieux dans des périodes comme celle-ci, où les marchés et les conditions-cadres évoluent très rapidement. Nos clients et partenaires attendent donc avec impatience le prochain salon. Et personnellement, j'attends avec impatience quatre jours de salon riches en événements, un dialogue tourné vers l'avenir et de nombreuses rencontres intéressantes.

A bientôt ici avec nous à Munich.

Source ZiegelIndustrie International

08/04/2024

wienerberger/Porotherm: Nouvelle fiche FDES pour les briques bas carbone de 20 cm Porotherm à 18,3 kg CO2/m2

La nouvelle Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) des briques de structure de 20 cm posées à joints minces Porotherm, marque de wienerberger, est en ligne sur la base INIES.

Plus loin pour la décarbonation de nos produits Porotherm

Calculée sur l’Analyse du Cycle de Vie des produits, celle-ci affiche une réduction significative de l’impact carbone de ces produits, passant de 26,6 kg à 18,3 kg CO2 /m². Ce résultat est le fruit d’une politique environnementale forte mise en place par wienerberger, pour parvenir à la neutralité carbone en 2050. L’industriel peut ainsi proposer dès à présent à ses clients des briques bas carbone qui répondent parfaitement aux exigences 2025 des seuils carbone portées par la RE2020.

Les produits Porotherm concernés

Valable durant 5 ans, cette nouvelle FDES concerne les briques de structure de 20 cm posées à joints minces GFR 20, GFR20 Th+, R20, NATURbric, HOMEbric, CITIbric et CITEbric. Cet outil de référence pour l’évaluation de la performance environnementale des bâtiments garantit ainsi aux clients de wienerberger que ces briques bas carbone répondent parfaitement aux exigences de la RE2020, y compris aux nouveaux seuils d’émissions carbone pour les produits de construction applicables au 1er janvier 2025 en maison individuelle ou en logement collectif.

Une gamme de briques bas carbone

Nous vous proposons ainsi la brique bas carbone avec une empreinte carbone réduite de -25%* pour l’ensemble des briques Porotherm de 20 cm posées aux joints minces (Fiche de Données Environnementales et Sanitaires disponible sur la base INIES).

*- 25% par rapport à l’impact carbone d’une brique Porotherm de 20 cm d’épaisseur cuite à 100% au gaz naturel.

Source wienerberger

07/04/2024

Le constructeur Maisons Brand a réalisé la première maison individuelle avec la brique de 20 ISObric®

A Wattwiller (68), Maisons Brand construit une maison individuelle performante grâce à la brique de 20 cm ISObric® de Porotherm.

A Wattwiller (68), le constructeur Maisons Brand a réalisé la première maison individuelle en France avec la brique de 20 cm à isolation intégrée ISObric® de Porotherm, marque de wienerberger. Grâce à cette solution innovante, Maisons Brand a été capable de faire gagner 2,32 m² habitables à son client tout en gardant la même emprise au sol, pour un gain sur l’opération estimé à plus de 8 000 € TTC.

Cette innovation issue de l’expertise industrielle de wienerberger et du savoir-faire acquis sur le développement de la solution Climamur®, se présente comme une véritable révolution dans la construction de murs de structure. Elle répond ainsi parfaitement aux enjeux de la Règlementation Environnementale 2020 et aux défis constructifs d’aujourd’hui, pour un habitat confortable, sain, durable et économe.

Source wienerberger

06/04/2024

VETAbric et Rairies Montrieux habillent 2 tours rue Tolbiac

Après plus d’un an de travaux, nous partageons les photos de la réhabilitation thermique des 2 tours de 101 logements rue de Tolbiac à Paris. 

Ce projet conçu par ITHAQUES pour le compte de la RIVP a été réalisé avec  les panneaux VETAbric associés aux plaquettes Montgris et Montbeige (Rairies Montrieux) par l’entreprise GENERE. 

Avec ce chantier de grande ampleur en plein cœur du XIIIe arrondissement, on mesure aisément les nombreux atouts de nos panneaux VETABric : 

  • rapidité de pose, 
  • pose au-dessus de 28m en 4è famille, 
  • angles spécialement fabriqués pour ce chantier, 
  • pose à la verticale, 
  • homogénéité de la façade…

05/04/2024

Wienerberger veut continuer à exploiter et à agrandir sa carrière de Saint-Étienne-sur-Reyssouze

Wienerberger est une société de fabrication de briques. Elle extrait de l’argile de deux carrières locales. La société souhaite agrandir ces dernières.

Olivier Bourdoncle, directeur, et Solène Quinot, géologue en charge des carrières.  

La société Wienerberger, implantée à Pont-de-Vaux depuis 2000, produit des briques de structure destinées à la construction de bâtiments.

Olivier Bourdoncle en est le directeur depuis 2021. Il emploie 80 salariés dont 55 travaillent sur le site même. « Nous travaillons 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. De notre usine moderne sortent 150 000 tonnes de briques par an et nous produisons l’équivalent d’une maison de 120 m2 en une heure », souligne Olivier Bourdoncle.

Entre l’arrivée de la matière brute sur le site et la mise en palette de la brique, il faut compter 4 jours de process.

Source Le Progrès par Pascal Coulas 

04/04/2024

Des sédiments marins pour produire un béton écologique sur le Bassin d'Arcachon

Zoom sur un matériau de construction pour Bien dans ma ville : le béton écologique issu du Bassin d’Arcachon.

Du béton écologique en Gironde 

Une fois n’est pas coutume, Bien dans ma ville ne s’intéresse pas à un bâtiment, ni même à une exposition, mais à un matériau de construction. Zoom sur le béton écologique issu du Bassin d'Arcachon. Chaque année, ce sont 9 millions de m3 de sédiments qui sont dragués dans la Gironde, dans le Bassin d'Arcachon, à Bayonne et à La Rochelle. Aujourd'hui, ces matériaux sont, soit rejetés en mer, soit stockés sur le sol à Arcachon. En parallèle, la demande croissante en matériaux de construction risque de conduire à l'épuisement des ressources naturelles.

De sédiments à matériaux de construction

Les chercheurs ont donc planché pour transformer ses sédiments en matériaux de construction. Les premières études ont été lancées en 2019 par l'Université de Bordeaux, le Grand Port Maritime de Bordeaux et la Fédération nationale des travaux publics. Ce projet baptisé "ValoSed" a permis de créer des formules de bétons écologiques.

Le béton écologique, késako ?

Les sédiments sont constitués en moyenne à 80% de vase et à 20% de sables. Pour produire un béton écologique et remplacer le ciment, ValoSed a réussi à produire à partir de cette vase un liant en y ajoutant du sable avec les différentes tailles de cailloux que l'on trouve dans l'estuaire. Ce nouveau béton écologique offre la même résistance mécanique voire même supérieure aux liants traditionnels ! Et le bilan carbone prévisionnel de ces bétons sans ciment a permis de calculer un gain d'émission de CO2 de 20 % ! C'est tout bénef !

Ces bétons écologiques servent déjà à combler des trous, à construire des pistes cyclables et à terme ils pourront être employés pour réaliser des voies poids lourds.

Source France Bleu Girondepar  Philippe Vigier , Marie-Corine Cailleteau


03/04/2024

Bio’Bric, des briques en terre cuite pour limiter les ponts thermiques

Les murs 100 % terre cuite répondent aux exigences de la RE 2020 sur la performance énergétique des constructions neuves. Ils réduisent l’impact environnemental et la consommation énergétique du bâtiment, tout en étant abordables.

Le choix des matériaux utilisés est crucial pour un logement confortable, économique et écologique. Les constructeurs doivent trouver le parfait compromis entre leurs propriétés et les contraintes qu’ils doivent satisfaire, explique l’académie Aix Marseille. Afin d’assurer la performance thermique des bâtis, les constructeurs peuvent d’ores et déjà adopter le système de construction 100 % terre cuite. Outre son coût réduit, ce matériau naturellement isolant et à faible impact carbone évite la perte en surface habitable.

Améliorer la performance thermique des constructions

Le « Pack logement collectif » développé par l’entreprise Bio’Bric permet d’homogénéiser la façade et d’éviter les déperditions de chaleur. Naturellement isolants, ces éléments en terre cuite, dont l’épaisseur de l’isolant est réduite de 4 à 6 cm, permettent de gagner de la surface habitable. Les consommations énergétiques sont également limitées grâce à la performance thermique du logement. Il associe les briques de mur à des accessoires thermiques en terre cuite, à savoir :

  • des planelles d’about de plancher isolées ou alvéolaires pour traiter les ponts thermiques ;
  • une gamme de briques de murs alvéolées procurant une résistance thermique comprise entre 1,00 et 1,50 m².K/W ;
  • des briques à bancher-acrotère pour traiter les ponts thermiques en acrotères haut et bas ;
  • un coffre de volet roulant en terre cuite innovante, pratique, performante et esthétique.

La terre cuite pour réduire les coûts de construction et l’impact carbone des bâtiments. 

Utiliser la terre cuite pour limiter les coûts et l’impact carbone

L’utilisation de la terre cuite permet de réduire les dépenses liées à l’élévation des murs de 35 % selon l’entreprise. Les constructeurs bénéficient d’un gain considérable sur le coût de la maçonnerie. Par ailleurs, les planelles isolées évitent de recourir à des rupteurs thermiques onéreux. Cette solution réduit par ailleurs l’impact carbone du bâtiment. En effet, la marque emploie de l’argile géosourcée et renouvelable, extraite à proximité de ses sites de production. Le fabricant se distingue de plus par l’utilisation massive d’énergie décarbonée pour la production de ses briques. Cela permet de diminuer les émissions de CO2 de 45 %. D’ici à 2027, elles seront réduites jusqu’à  90 %.

Un impact environnemental réduit

Selon les explications du groupe Bouyer Leroux, différents projets sont déjà mis en place afin d’atteindre cet objectif. Il bénéficie d’un financement France Relance « Décarbonation de l’industrie » pour deux d’entre eux. L’utilisation de l’air chaud en sortie de four pour le séchage des briques ainsi que les foyers biomasse sont parmi les procédés écologiques déployés par Bio’Bric. Dans le but de rendre les briques plus isolantes et légères, le fabricant intègre de la biomasse (sciure de bois et coques de tournesol) au mélange argileux. Pour la cuisson, il privilégie la sciure de bois qui produit de l’énergie au contact de l’air chaud.

Un système constructif 100 % terre cuite.

L’entreprise a également investi pour l’installation de panneaux solaires. Ces derniers permettent de couvrir 100 % des besoins électriques des sites. Le choix de ce matériau plus écologique et performant thermiquement permet aux acteurs du bâtiment d’adopter un système constructif durable. Pour en savoir plus : biobric.com. Que pensez-vous de ces matériaux de construction ? Je vous invite à partager votre avis, vos remarques ou nous signaler une erreur dans le texte, cliquez ici pour publier un commentaire .



Source NeoZone par Christiana Ravolanirina


02/04/2024

Frédéric Didier, pilote du rapprochement de Wienerberger et Terreal en France

Nommé directeur général de Terreal France et de Wienerberger France, Frédéric Didier doit mener à bien le rapprochement des deux fabricants de matériaux de construction en terre cuite, dans un contexte de demande chahutée et de transition écologique.

Frédéric Didier était jusqu'alors DG de Wienerberger France.

Un nouveau pilote pour deux acteurs des briques et des tuiles. Frédéric Didier, 47 ans, a été nommé directeur général de Terreal France et de Wienerberger France le 1er mars 2024, chargé du pilotage stratégique et du développement des entreprises. Ce diplômé d’un master en commerce et marketing de l’Esidec–ICN de Nancy-Metz était, depuis 2020, directeur général de Wienerberger France.

Aussitôt le rachat du fabricant français de matériaux de construction en terre cuite Terreal conclu par l’autrichien Wienerberger (en France, en Espagne, en Italie, aux Etats-Unis et en Allemagne), le 29 février dernier, un comité exécutif commun a été mis en place. «L’idée est de créer un leader européen et français du secteur, et de jouer un rôle clef dans la décarbonation. Le profil de la nouvelle entité est d’être un fournisseur référent dans l’enveloppe bâtiment : couverture, solaire, structure, façade», expose Frédéric Didier à L'Usine Nouvelle.

En 2022 en France, Wienerberger était numéro deux dans la brique de structure et numéro trois dans la tuile (755 collaborateurs, 8 usines de tuiles et de briques, 222 millions d’euros de chiffre d’affaires) et Terreal troisième dans la structure et deuxième dans la couverture (1541 personnes, 17 sites industriels, 490 millions d’euros de chiffre d'affaires). 

Un parcours dans les matériaux de construction

Frédéric Didier débute sa carrière dans le groupe Holcim en 1999, où il a notamment occupé les fonctions de responsable commercial régional sur le ciment (Ciments d’Origny), et directeur national des ventes de liants hydrauliques routiers et des produits spéciaux d’Holcim France. En 2013, il rejoint le producteur de matériaux Eqiom France en tant que directeur de région Alsace, Lorraine et Pays-Bas sur les granulats issus de carrières, avant d’être nommé directeur général adjoint de Wienerberger France en 2020.

«Le groupe a une culture décentralisée. Les pays sont assez souverains. Ce qui est intéressant dans cette approche, c’est d’être dans cet esprit de croissance», souligne le dirigeant. Dans le cadre de son nouveau poste, il chapeautera aussi les entités de l’Espagne (une usine de production de briques de structure et deux marques sur les composants de toiture), et l’export vers les pays d’Asie de l’Est.

Passionné par le ski et la montagne, Frédéric Didier est aussi président de la Fédération française des tuiles et briques, et président du Centre technique des matériaux naturels de construction. Il est également membre de l’association Promotoit, de la Commission transition écologique et économique du Medef, et de l’Association des industries des produits de construction.

Un nouveau comité exécutif

Même si les deux entreprises ne fusionnent pas juridiquement, l’acquisition de Terreal par Wienerberger se conclut par la mise en place d’un nouveau comité exécutif commun. Précédemment directeur général de Terreal France, Jean-Baptiste Fayet devient directeur général adjoint et directeur commercial et marketing pour Terreal et Wienerberger en France.

Directeur général délégué en charge de la finance, des achats, du juridique et des systèmes d’information de Wienerberger France, Mathieu Ungerer étend ses responsabilités aux deux entités. Idem pour Olivier Butel, directeur des opérations chez Terreal, qui occupe étend ses fonctions à Wienerberger en France. Directeur de la stratégie, du business development et de la RSE pour Terreal, Julien Chnebierk est pour sa part nommé directeur de la stratégie, de la RSE, et de l’intégration des deux entreprises.

L’immobilier met les briques et les tuiles en difficulté

Les difficultés de l’immobilier se répercutent sur le marché des matériaux de construction. En 2023 les livraisons de briques – surtout utilisées dans la construction neuve – ont chuté de 25% en France, à 1,4 million de tonnes. Les livraisons de tuiles ont pour leur part reculé de 19%, là aussi suite à la plongée du nombre de mises en chantier, mais aussi face au calme plat constaté sur le marché de la rénovation et à des stocks encore nombreux chez les constructeurs et dans les négoces.

En termes de production, «les industriels ont maintenu des niveaux de production permettant de reconstituer les stocks, historiquement bas», précise la Fédération française des tuiles et briques, avec l’équivalent de plus trois mois de chantiers. Pour autant, la production de briques de structure a accusé un recul de 18,5% en 2023, et celle de tuiles de 8%.

Source L'Usine Nouvelle par Franck Stassi

01/04/2024

Une carrière d'argile autorisée dans l'Eure, malgré l'opposition des habitants

Le préfet de l’Eure a signé l’autorisation d’exploiter la carrière d’argile par la société Terreal dans le village de Cahaignes, rattaché à la commune nouvelle de Vexin-sur-Epte, mardi 19 mars 2024.

Simon Babre, préfet de l’Eure, a signé l’autorisation d’exploiter une carrière d’argile à ciel ouvert par la société Terreal à Cahaignes, village rattaché à la commune nouvelle de Vexin-sur-Epte dans l'Eure, ce mardi 19 mars 2024.

Bruit, poussières, glissements de terrain...

"Cette carrière alimentera en argile l’unité de fabrication de tuiles plates de la société Terreal aux Mureaux dans les Yvelines, dernière tuilerie en exploitation en Ile-de-France, et pour partie l’unité de Bavent dans le Calvados", indique la préfecture dans un communiqué.

Ce projet avait suscité une levée de boucliers au sein village de Cahaignes. Plusieurs habitants, rassemblés dans une association Vexin nature qualité de vie, craignent des nuisances sonores, des poussières, des glissements de terrain mais aussi des défilés de camions.

Des contreparties signées par le préfet

Le préfet assure, de son côté, que "le projet a considérablement évolué par rapport à la demande d’origine afin de répondre aux observations et arguments exprimés pendant la phase de consultation" :

  • la durée d’exploitation de 30 ans a été réduite à 15 ans ;
  • la distance entre la première maison et les limites d’exploitation de la carrière a été étendue de 65 m à 330 m ;

l’arrêté préfectoral énonce comme condition à sa signature l’engagement de la société Terreal

  • à ne pas demander d’extension géographique du périmètre d’extraction dans la zone comprise
  • entre le village et la carrière ;
  • entre les premières habitations et les limites de la carrière sera créée une trame verte, avec mise
  • en place d’ensembles boisés plantés en chênes truffiers sur une surface de quatre hectares. Cette trame verte sera complétée par la création de corridors écologiques reliant des boisements existants au nord et au sud ;
  • Terreal aménagera une nouvelle voie d’accès pour les camions desservant la carrière qui ne traverseront donc pas le village de Cahaignes ;
  • une commission de suivi de site est créée. Présidée par le sous-préfet des Andelys, elle réunit les services de l’État, les collectivités concernées, les associations de protection de l’environnement et la société Terreal. Elle se réunira au moins une fois par an afin de suivre l’exploitation et la mise en œuvre des dispositions contenues dans la demande d’autorisation et l’arrêté préfectoral.

Dans un communiqué, Vexin Nature Qualité de Vie "prend acte de cette décision qu’elle regrette profondément, notamment parce qu’elle n’a pas été précédée par les contre-expertises sur les dossiers hydrologie et faune flore, qui s’imposaient et que l’association n’a cessé de réclamer depuis la dernière enquête publique".

L'association annonce qu'elle va se rapprocher du Cabinet Huglo-Lepage qui la représente "afin d’envisager un éventuel recours et bien sûr consulter ses membres et la population du village avant toute action".

Déjà implanté près de Caen, à Bavent

Pour rappel, le groupe Terreal, présent dans le monde entier, est notamment spécialisé dans la fabrication de briques et de tuiles. En Normandie, à Bavent (au nord de Caen), le groupe exploite une usine qui produit 70 000 tonnes de tuiles par an.

Des tuiles, qui, après un ralentissement de la production pendant la crise sanitaire du Covid, sont aujourd'hui très demandées sur le marché des matériaux de construction.

Terreal, en prévision de l'épuisement de ses actuelles carrières d'argile (comme aux Mureaux dans les Yvelines) a  prospecté d'autres gisements possibles, présentant, comme à Cahaignes, "une terre idéale" pour la fabrication de tuiles, selon l'entreprise.

Source France 3 par Manon Loubet

31/03/2024

Beralmar modernise 3 séchoirs et 2 fours en Tunisie

Beralmar Tecnologic S.A. a été sélectionnée pour moderniser tous les équipements de combustion et SCADA de 3 séchoirs rapides et de 2 fours tunnels en TUNISIE, avec une production quotidienne de 1600 tonnes.

Pour les 3 séchoirs rapides, 9 brûleurs à gaz à veine d’air seront fournis, les modèles VA-2000 et VA-3000, ainsi que l’installation du système MICROSEC pour le contrôle automatique.

En ce qui concerne les 2 fours, Beralmar fournira 4 groupes de brûleurs à grande vitesse, modèle FOC20/MV, 16 brûleurs latéraux modèle FOC20/ML, 16 groupes de brûleurs à impulsion modèle ICV, et l’installation du système MICROBER pour le contrôle automatique.

Source LinkedIn

30/03/2024

Equipceramic robotise les briqueteries du monde entier

Prêt pour l’action mondiale : l'atelier d'Equipceramic achève la préparation de 20 robots destinés aux briqueteries du monde entier.

Après une étape importante dans l’automatisation industrielle avec la vente de 60 robots en 2023, Equipceramic est ravis d’annoncer une fois de plus qu’au début de l’année 2024, son atelier a terminé la préparation de 20 robots de pointe spécialement conçus pour révolutionner la production dans les briqueteries du monde entier. 

Ces robots innovants, méticuleusement testés, sont maintenant prêts à être déployés vers leurs destinations mondiales respectives.

Source LinkedIn

29/03/2024

UK: La campagne Better With Brick de BDA célèbre la brique en terre cuite comme le matériau de construction contemporain ultime

La Brick Development Association (BDA) commémore l’attrait de la brique en terre cuite en tant que matériau de construction éternel avec le lancement de sa campagne Better with Brick. Rempli de faits, de statistiques et de blogs présentant des analyses et des idées d'experts, Better with Brick prouve que la brique de terre cuite a bien plus à offrir qu'il n'y paraît.

Matériau de construction historique et fiable, les qualités exceptionnelles de la brique d’argile en font la source de construction idéale pour ici et maintenant. Il s’agit d’un investissement viable à long terme, doté d’une excellente disponibilité et d’une empreinte carbone inférieure à celle de nombreux matériaux alternatifs. Better with Brick offre un aperçu complet de ces avantages et bien plus encore. Donc, si vous pensiez savoir tout ce qu'il y avait à savoir sur les merveilles de la brique d'argile, Better with Brick peut vous donner raison d'y réfléchir à nouveau.

Keith Aldis, PDG de la BDA, a déclaré : « Avec Better with Brick, notre objectif est clair : révéler le charme intemporel et la fiabilité inébranlable de la brique d'argile, un matériau qui a longtemps été la pierre angulaire des constructeurs, des architectes et des propriétaires. Cette campagne mettra en évidence pourquoi la brique d’argile n’est pas seulement un choix, mais le meilleur choix pour vos besoins de construction. Alors, rejoignez-nous pour célébrer la brique d’argile ; un don d’une ressource de construction qui continue de donner.

Donner une voix aux qualités méconnues de la brique en terre cuite

Abordant des sujets qui vérifient le rôle vital de la brique en terre cuite dans la satisfaction de nos besoins de construction actuels et futurs, Better with Brick est l'occasion de découvrir des informations fascinantes sur ce matériau de construction éprouvé, fiable et apprécié. La résistance, la fiabilité, les qualités de conception et l’attrait illimité de la brique en terre cuite comptent parmi ses caractéristiques bénéfiques reconnues – mais qu’en est-il de sa valeur durable en dehors de sa résistance intégrée aux intempéries à long terme ? Avez-vous également réfléchi à la manière dont la brique en terre cuite pourrait jouer un rôle essentiel dans la décarbonisation de la construction et contribuer à l’effort national visant à atteindre le zéro net ?

Et ce n’est pas tout : saviez-vous que la performance incombustible de la brique en terre cuite est caractérisée par son classement au feu A1 ? Better with Brick présentera en détail chacun de ces avantages sous-jacents cruciaux dans une série de blogs d'experts qui révéleront également comment la Charte de qualité des fabricants de briques gère sa crédibilité en ce qui concerne les briques en terre cuite.

La BDA vous encourage à les suivre sur les plateformes de médias sociaux pour entendre directement les fabricants de briques, les architectes et d'autres experts de l'industrie expliquer pourquoi la brique d'argile est leur choix préféré. Recherchez @brickdevelopmentassociation sur vos plateformes préférées et rejoignez la conversation en utilisant le hashtag #betterwithbrick.

Mais la campagne ne s’arrête pas là ! Assurez-vous de regarder la vidéo de lancement ici et restez à l'écoute des prochaines interviews et vidéos qui seront publiées sur leurs réseaux sociaux dans les semaines et les mois à venir.

« Better with Brick » propose une exploration complète et convaincante de ce matériau intemporel, révélant sa pertinence et son potentiel surprenants dans la construction moderne. Découvrez-en davantage sur les avantages de la brique en terre cuite et sur la campagne de la BDA ici : https://www.brick.org.uk/better-with-brick.

Source BDC magazine

28/03/2024

Utilisation des contaminants rejetés lors du processus de recyclage du papier dans la production de briques en terre cuite

Les matériaux de construction sont le moteur de l’économie mondiale, mais ils sont confrontés à de graves obstacles environnementaux : épuisement des ressources, émissions de gaz à effet de serre et production de déchets. 

Afin d’atténuer l’impact de ces défis, les autorités recherchent de toute urgence des alternatives durables et respectueuses de l’environnement. 

Cette étude se concentre sur l'utilisation des fines contaminées (FCR) rejetées telles que reçues, obtenues à partir du processus de recyclage des déchets (papier) des bacs jaunes, dans la production de briques. 

Divers tests ont évalué les performances de la brique, notamment la résistance à la compression, le taux d'absorption, la conductivité thermique, la tomodensitométrie 3D pour l'analyse morphologique et l'analyse de la durabilité. De plus, une analyse du lixiviat a été réalisée pour évaluer les implications environnementales. Les bénéfices économiques, notamment la réduction des émissions de CO2, ont également été évalués. 

Les résultats ont confirmé que les déchets tels que reçus peuvent être utilisés pour la production de briques en terre cuite sans nécessiter de pulvérisation. Le nouveau produit de brique fabriqué à partir de déchets FCR tels que reçus présentait des caractéristiques thermiques supérieures (jusqu'à 31,25 % de réduction par rapport aux briques témoins) tout en répondant aux exigences de conformité essentielles définies par les normes nationales. 

De plus, chaque cycle de cuisson a généré une valeur potentielle allant jusqu'à 158 460 USD grâce à une réduction de 417 tonnes de CO2, résultant d'une réduction de 9,5 % de la température de cuisson (1 000 °C). Les résultats de cette étude offrent des informations précieuses sur le potentiel de l’utilisation des déchets FCR comme alternative durable dans l’industrie de fabrication de briques. Cette alternative pourrait répondre à la demande croissante sur le marché actuel, résoudre la crise croissante des déchets solides et atténuer les pénuries d’argile, tout en offrant une solution durable à l’industrie de la brique.

Source ScienceDirect

27/03/2024

Balkans: Nexe Grupa assure sa transition énergétique grâce à de nouvelles technologies

Le groupe est bien connu pour sa stratégie d'investissement avant-gardiste et a récemment achevé une nouvelle mise à niveau technologique visant à améliorer l'efficacité énergétique de son usine de Polet à Novi Bečej, en Serbie, avec Bongioanni Macchine.

Nexe Grupa est une marque très respectée dans la région des Balkans, réputée pour ses matériaux de construction de haute qualité et son portefeuille de produits complet comprenant des briques, des tuiles, des tuiles en céramique et des produits en béton. Le groupe est composé de 14 sociétés implantées en Croatie, en Serbie et en Bosnie-Herzégovine avec un effectif total de près de 1 700 salariés. Malgré des conditions de marché difficiles, Nexe Grupa a enregistré une croissance de ses ventes de 3 % sur un an en 2023.

Le groupe est bien connu pour sa stratégie d'investissement avant-gardiste et a récemment achevé une nouvelle mise à niveau technologique dans son usine de Polet à Novi Bečej, en Serbie, avec des machines fournies par son partenaire de confiance de longue date, Bongioanni Macchine. Depuis des années, Nexe Grupa se concentre sur des projets liés à la transition verte, énergétique et numérique dans le but de réduire son empreinte carbone, d'améliorer l'efficacité énergétique et d'augmenter la proportion de carburants et de matières premières alternatives utilisées, contribuant ainsi à la gestion durable de ressources. Le groupe prévoit en effet des améliorations supplémentaires visant à améliorer l’efficacité de ses usines et à accroître l’utilisation des énergies renouvelables dans ses opérations de fabrication de briques et de tuiles.

Nous avons interviewé Davor Vidaković, directeur exécutif de la division brique et carreaux de céramique, pour en savoir plus sur les projets de Nexe Grupa.

Lire l'interview publiée dans Brick World Review no. 1/2024

Source CeramicWorldWeb

26/03/2024

Suisse: Kubrix commercialise des briques thermo-isolantes en terre cuite

Kubrix propose un large choix de briques thermo-isolantes en terre cuite. Ses produits s’adressent aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels.

L’efficacité énergétique et le confort d’un bâtiment dépendent en grande partie des propriétés d’isolation thermique de ses murs. La nature des briques utilisées dans la construction est l’un des facteurs qui déterminent ces propriétés. Les briques peuvent avoir des formes et des coefficients thermiques différents. Des paramètres qui ont un impact significatif sur leur capacité à transférer la chaleur à travers le mur. En Europe, l’entreprise helvétique Kubrix est l’une des références en la matière. Il s’agit de l’un des plus grands producteurs de briques en Suisse. Son catalogue comprend un large choix de produits, allant des briques thermo-isolantes aux briques apparentes en passant par les briques silico-calcaires, pour ne citer que ces quelques exemples.

Des briques alvéolaires

Les briques thermo-isolantes de Kubrix ont été conçues pour faciliter le montage et l’isolation des murs. Avec leur conception de type alvéolaire, elles sont légères et permettent l’intégration de matériaux spéciaux pour améliorer leur coefficient thermique. À ce propos, l’entreprise affirme utiliser des matériaux isolants naturels et durables. C’est notamment le cas pour la gamme Unipor Silvacor / Coriso composée de briques thermo-isolantes grand format intégrant des isolants de faible empreinte carbone. Les structures creuses internes permettent également une bonne aération, ce qui prévient l’humidité.

Une brique de la gamme Unipor Coriso (en coupe) où l'on peut voir le matériau isolant à l'interieur.

Une grande résistance aux éléments

Il faut savoir que les briques produites par Kubrix sont de type monomur. Autrement dit, elles font simultanément office de mur et d’isolant. Leur conception innovante assure un excellent confort thermique en hiver et en été. Que ce soit pour de nouvelles constructions ou pour des travaux de rénovation, les références disponibles dans le catalogue de l’entreprise suisse garantissent des ouvrages de qualité. D’ailleurs, elles s’adressent autant aux professionnels qu’aux particuliers. La résistance mécanique fait partie des paramètres qui définissent la qualité d’un matériau de construction. Les briques de Kubrix bénéficient de traitements spéciaux pour s’assurer de leur résistance aux intempéries. Cela procure aux bâtiments auxquels elles sont intégrées une durée de vie prolongée.

Améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments

Par ailleurs, les briques monomur de l’entreprise suisse promettent d’être faciles à poser. Pour cela, il suffit d’utiliser des joints minces de mortier. Néanmoins, pour des résultats réussis, il est préférable de faire appel à un professionnel avant de procéder aux travaux. En combinant méthodes traditionnelles et innovations techniques, Kubrix veut révolutionner le secteur de la construction.

L'intérieur de la briqueterie Kubrix

Ses produits permettent non seulement d’augmenter l’efficacité énergétique des bâtiments, mais également de réduire leur empreinte écologique. Enfin, sachez que les briques de la marque sont fabriquées dans ses propres ateliers afin de garantir le respect des cahiers de charge relatifs aux procédés de fabrication. Plus d’infos : kubrix.ch. Que pensez-vous de ces briques thermo-isolantes ? Je vous invite à nous donner votre avis, vos remarques ou nous remonter une erreur dans le texte, cliquez ici pour publier un commentaire .

Source NeoZone par Marc Odilon


25/03/2024

Ghislain Derville, nouveau directeur financier d'Edilians

 Edilians, le fabricant de tuiles rhodanien, vient d'annoncer la nomination de Ghislain Derville au poste de directeur financier.

Ghislain Derville rejoint le fabricant de tuiles rhodanien Edilians, au poste de directeur financier, jusque là occupé par Eleonore Grossetete. Il prendra pleinement ses fonctions à compter du mois d’avril.

Titulaire d’un master en finance à l’EDHEC Lille en 2001 et ayant suivi un executive master en finance d’entreprise et marché de capitaux à Science Po Paris en 2009, Ghislain Derville, 45 ans, a occupé différentes fonctions en audit interne, finance d’entreprise et contrôle de gestion en France et en Asie, au sein des groupes de chimie Rhodia et Solvay. En 2019, il rejoint Mecapole avant d’occuper, en 2021, la fonction de directeur financier groupe chez Porcher Industries.

Ghislain Derville, nouveau directeur financier d'Edilians : "Faire grandir le groupe"

"C’est avec grand plaisir que nous accueillons Ghislain Derville au sein du comité exécutif du groupe pour prendre en charge le pilotage de toutes les opérations financières", déclare Pascal Casanova, président exécutif d'Edilians groupe.

"Je suis ravi de rejoindre Edilians : les valeurs qu’il incarne, l’exigence qu’il met en œuvre, la stratégie qu’il porte, m’enthousiasment à apporter toute ma contribution pour continuer à faire grandir le groupe", commente Ghislain Derville.

Source Mes Infos par Tony Fontenau

24/03/2024

Allemagne: La société d'ingénierie pour la terre cuite Lingl reprise par un nouvel investisseur

L'investisseur de Krumbach, Hermann Frentzen, reprend l'entreprise avec d'autres actionnaires. 

Quelles perspectives pour l'entreprise Lingl de Krumbach à l'issue de la procédure de redressmeent judiciaire?

Les perspectives sont évidemment à nouveau bonnes pour l'entreprise en faillite de Krumbach, Lingl. L'investisseur de Krumbach, Hermann Frentzen, reprend l'entreprise traditionnelle de Krumbach avec d'autres membres de la direction précédente et les frères Welzhofer du quartier Ziemetshausen de Schönebach. Frentzen l'a confirmé lorsque nous lui avons demandé. 

Lundi 18 mars, les collaborateurs ont été informés de manière détaillée de l'évolution de la situation lors d'une réunion. Dans une interview avec notre rédaction, Frentzen explique pourquoi il voit de bonnes perspectives pour Lingl et ce qui se passera ensuite.

Source Augsburger Allgemeine par Peter Bauer,

"On voit que le point de départ pour Lingl est bon"

L'investisseur de Krumbach, Hermann Frentzen, explique dans une interview à notre rédaction comment il souhaite conduire l'entreprise Lingl vers un avenir prometteur.

L'actionnaire majoritaire, Hermann Frentzen, explique pourquoi il a rejoint Lingl, quel « travail cruel » l'attend et pourquoi le nombre d'employés pourrait augmenter.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre Lingl en tant qu’actionnaire majoritaire ?

Hermann Frentzen : Lingl est une entreprise avec une tradition impressionnante. Il existe une énorme quantité de connaissances techniques et l’entreprise jouit d’une excellente réputation dans le monde entier. J'ai pensé qu'il n'est pas possible que Lingl n'aille pas plus loin. 

La fin de Lingl aurait également été un revers cuisant pour la ville de Krumbach en tant que site économique. À 64 ans, je n'aurais plus à relever un défi comme celui que je rencontre aujourd'hui à Lingl. Mais je ne suis tout simplement pas ce genre-là. J'aime être entrepreneur et je vois de bonnes perspectives pour Lingl. J'ai donc vraiment hâte de m'attaquer à cela maintenant.

Source Augsburger Allgemeine par Peter Bauer,