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01/07/2017

Vicat bichonne la carrière de Xeuilley

Vicat s’emploie depuis 2003 à préserver la biodiversité du site où se situe la carrière de Xeuilley actuellement en exploitation. Ce dernier accueille plusieurs espèces d’amphibiens protégées ou bien menacées.

Située en Meurthe et Moselle, au sud de Nancy, cette carrière de 350 ha exploite des calcaires marneux ainsi que de l’argile pour la cimenterie Vicat de Xeuilley. Riche en biodiversité, ce site offre un des
plus larges foyers de population d’amphibiens de la région. On dénombre ainsi 12 espèces dont deux protégées au niveau européen : le Triton crêté et le crapaud Sonneur à ventre jaune. Cette spécificité lui a valu le classement d’une partie du site au réseau Natura 2000 en 2004. A cela s’ajoutent deux espèces vulnérables : le Crapaud calamite et le Pélodyte ponctué.

Vicat a bénéficié en 2003 d’un renouvellement d’autorisation préfectorale et s’attèle depuis à concilier l’extraction des minéraux avec la préservation des amphibiens. Parmi les mesures prises par le cimentier, on citera la création de nouvelles mares ou le rajeunissement d’ornières. Le groupe privilégie également la remise en herbe, avec cahier des charges, des zones dès que l’exploitation en est achevée.

A savoir également, Vicat collabore depuis 2002 avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Lorraine pour préserver la biodiversité du site et entretenir l’écosystème.

Source Construction Cayola

30/06/2017

Clay brick construction – supporting the green building imperative

Clay brick construction is increasingly being recognised as a vital component of green building in the ongoing quest to find solutions that eliminate or meaningfully reduce adverse impacts of development on the environment and its occupants.

These are the words of Musa Shangase, commercial director of leading brick manufacturer, Corobrik, who adds that there is an abundance of local and international research to support this premise.

“Green buildings share a number of positive attributes with clay brick masonry,” he said. “Possibly the most significant of these is superior thermal performance.”

“Masonry construction has inherent high thermal mass. This enables a building to store heat and remain cooler for longer than lightweight structures. It deals efficiently with extremes of temperature in both summer and winter so that, regardless of how hot it becomes outside in the daytime or how much cooler it gets inside the house at  night, the interior remains comfortable.”

“This leads to lower life cycle operating costs in addition to being energy efficient, resource efficient and environmentally responsible,” he said.

Shangase cited the red-brick Britten Pears Archive in Suffolk, England as a fine example of a green building which has won numerous architectural awards including the Civic Trust Award for sustainable architecture for its ability to protect and preserve the fragile collection celebrating the work of the renowned composer, without using mechanical temperature control.

A case study prepared by the UK’s Brick Development Association said that the aim of the architects and the engineers, was to create a passive archive where the internal environment was controlled with minimal energy input. Because the structure required good thermal shielding, they felt that brick offered the ideal solution.

This thinking was reinforced by a study conducted by The University of Newcastle in Australia which measured how well the internal surface of various external walling systems responded to the external surface temperature under all weather parameters. It found that the insulated cavity brick module with its combination of thermal shielding and insulation layers performed best. The outer skin improved the overall performance while the thermal mass within the wall helped moderate the internal temperature.

The well insulated brick walls would play an important part in moderating the temperature as well as the relative humidity between the outside environment and the valuable objects inside the building.

“This was achieved through effective thermal shielding delivered by natural and sustainable clay brick masonry,” Shangase said.

These thermal benefits are also of huge value in the South African context with its extreme climatic conditions, Shangase said, but clay brick has many other benefits that support its green building credentials.

“Its material density provides a natural sound barrier facilitating quiet indoor environments and its mineral properties prevent the release of volatile organic compounds (VOCs) at levels which could impinge on indoor air quality. They also facilitate the absorption and release of moisture from the air to help keep humidity within a 40 to 60 percent level for healthy living. This, in turn, promotes comfort, wellness and productivity.”

He concluded, “There is no doubt that clay brick delivers enduring structural integrity, creating durable and secure buildings in line with the ongoing trend towards a more responsible and sustainable built environment.”

Source Engineering News

29/06/2017

Vous saurez tout sur la brique au Biennale Architecture Lyon !

A l’occasion du Biennale Architecture Lyon qui a débuté le 15 Juin  à La Sucrière de Lyon, un Atelier Matières à Construire (amaco) propose de découvrir la production de briques.

Le Biennale Architecture Lyon invite à débattre des processus de fabrication de l’architecture, de la ville et du paysage.

Lors de cet évènement, l’Atelier Matières à Construire, amaco, centre d’expérimentation transdisciplinaire qui vise à revaloriser les matières brutes élémentaires telles que le sable, l’eau, les fibres ou la terre ; anime des ateliers publics.

Parmi eux, le projet « Qui es-tu, brique ? » propose de faire découvrir l’univers de la brique de terre crue, de ses formes, de ses textures, de ses fonctions, de ses usages, de ses appareillages et de ses structures.

Des ateliers de production de briques sont organisés à cette occasion le 16, 17 et 18 juin prochain à La Sucrière, à Lyon.

Source Construction Cayola

28/06/2017

Brique terre cuite et label E+C- : mariage réussi, assure la FFTB

Une étude publiée par la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) conclut que quels que soient l'énergie utilisée ou le type de logement, la maçonnerie en briques de terre cuite est une solution toute désignée dans le cadre du label énergie carbone (E+C-).

La Fédération française des tuiles et briques (FFTB) a missionné le cabinet Pouget consultants pour évaluer la performance de la brique terre cuite eu égard aux critères du label énergie carbone (E+C-). Et le résultat semble très favorable à la solution technique. "Quels que soient l'énergie utilisée ou le type de bâtiment (maison individuelle ou logements collectifs), la maçonnerie en briques terre cuite permet d'atteindre les critères du bonus de constructibilité", affirme en effet l'organisation professionnelle dans un communiqué de presse. Pour rappel, un bonus de constructibilité est donné à un bâtiment dit "exemplaire" sur le plan énergétique ou environnemental. Il peut aller jusqu'à +30% de surfaces autorisées par rapport aux documents d'urbanisme, dans un minimum de +3% de surface habitable.

Huit zones climatiques prises en compte


D'après l'arrêté du 12 octobre 2016, ces critères sont notamment ceux d'atteindre le niveau "carbone 2" du référentiel énergie carbone (E+C-), ou d'atteindre une consommation d'énergie primaire (CEP) de 20% inférieure aux standards de la réglementation thermique 2012. Dans ces deux cas, les solutions briques terre cuite sont "dans les clous". "Sur un immeuble à usage collectif de 2000 m² SHAB soit 34 logements comme dans la configuration de l'étude, la brique terre cuite permet de gagner 60 m² supplémentaires, en plus du bonus de COS. C'est l'équivalent d'un 3 pièces en plus créé grâce à la performance thermique intrinsèque de la brique terre cuite", affirme Isabelle Dorgeret, secrétaire générale de la FFTB, par communiqué de presse.

L'étude de Pouget consultants prend en compte huit zones climatiques. Mais aussi deux cas de systèmes énergétiques utilisés : gaz (auquel cas, en maison individuelle, 3m² de panneaux photovoltaïques sont posés pour satisfaire l'exigence sur la production en énergie renouvelable), et électricité.

Source Batiactu

27/06/2017

RE2018 : Préparons-nous ensemble à la nouvelle réglementation

TERREAL s’engage dans le plan d’expérimentation de la nouvelle réglementation environnementale RE2018. Notre entreprise s’implique en effet depuis plusieurs années dans les réglementations thermiques, à travers notamment l’obtention du label BEPOS Effinergie pour un habitat social à Castelnaudary.

La RE2018 a 2 objectifs principaux qui sont articulés autour du label E+C- : les bâtiments devront avoir un bilan énergétique positif (E+) et un bilan carbone faible (C-). TERREAL souhaite accompagner ses clients au quotidien en leur apportant une expertise dédiée sur cette réglementation et une offre produit adaptée à leur futurs chantiers RE2018. Dans cette optique, des présentation techniques, des réunions d’informations et des formations à la mise en œuvre de nos produits sont proposées.

De nombreuses solutions sont adaptées à l’obtention du label E+C-. Les systèmes constructifs Calibric participent à la sobriété des projets. La gamme de solutions de façade terre cuite en Isolation Thermique par l’Extérieur (ITE) permet quant à elle d’allier esthétique et isolation performante. L’autoconsommation est favorisée avec le système de production d’électricité photovoltaïque Solterre Micro PV et la solution de stockage d’énergie solaire Storelio. Tout un panel de solutions disponibles pour satisfaire aux exigences de cette nouvelle réglementation.

Pour vous accompagner, TERREAL a créé une vidéo pédagogique expliquant les grands points de la RE2018. Pour la visionner, cliquez ci-dessous ou rendez-vous sur la chaîne YouTube.

Source TERREAL

26/06/2017

LAURENT FISCHER DEVIENT DIRECTEUR GÉNÉRAL DU GROUPE BMI

Laurent Fischer devient Directeur Général du groupe BMI pour les activités de couverture et d’étanchéité du groupe en France, sous les marques Monier et Siplast.

Laurent Fischer, Directeur Général de Siplast, devient Directeur Général du groupe BMI (Braas Monier – Icopal) pour les activités de couverture et d’étanchéité du groupe en France, ayant la responsabilité opérationnelle des marques Monier et Siplast.
Ses fonctions couvriront aussi bien les toits en pente que les toitures-terrasses, tant pour les marchés résidentiels que non résidentiels.
« En associant nos deux marques fortes, en France, nous pourrons proposer à nos clients un large portefeuille de solutions pour la couverture et l’étanchéité en offrant des produits et des services dédiés aux toits en pentes et aux toits plats/terrasses, pour les marchés résidentiels comme non résidentiels. Demain, ceci permettra à nos clients de bénéficier d’une plateforme commerciale plus étendue grâce à notre présence plus forte sur le marché », a déclaré Laurent Fischer, Directeur Général de BMI France.


A propos de Laurent Fischer

Laurent Fischer, ingénieur Arts & Métiers et détenteur d’un MBA de l’Insead, connaît bien le secteur du bâtiment et du second œuvre puisqu’il a occupé des postes de direction chez des leaders du secteur, notamment AkzoNobel et Tarkett. Une belle expérience à l’international, notamment en Suisse et aux Etats-Unis, complète son cursus.
Père de quatre enfants, Laurent Fischer, 51 ans, pratique le piano, le football et le windsurf. Il a rejoint Siplast en décembre 2014 en tant que Directeur commercial France avant de devenir Directeur Général de Siplast en mai 2016.

A propos de Monier

Pionnier dans le développement de systèmes complets de toiture, Monier conçoit, dans les règles de l’art, une offre innovante : tuiles Terre Cuite et Béton, composants de toiture et isolation thermique par l’extérieur. Les professionnels Monier sont authentiques dans leurs relations, privilégiant l’accompagnement et l’écoute au plus proche de leurs clients. Monier, Complètement Toit.

A propos de Siplast

Depuis 60 ans, Siplast est le spécialiste de l’étanchéité bâtiment et génie civil et pionnier dans le domaine de l’éco-construction avec, notamment, la toiture-terrasse végétalisée ou les membranes dépolluantes. Siplast est également leader dans les domaines de la sous-toiture, de la couverture (bardeaux) et de l’insonorisation. L’innovation et la maîtrise de la fabrication de ses produits impliquent un souci constant de qualité - la société est certifiée ISO 9001 : 2008 - pour mettre à disposition de ses clients les meilleures solutions et un service basé sur la proximité. Siplast veille également à l’environnement, comme le classement ISO 14001 de son site de production de Mondoubleau le montre, mais aussi par l’invention de système pour la toiture terrasse végétalisée, la gestion des eaux pluviales en toiture ou ses membranes dépolluantes.

A propos du groupe BMI

Le groupe BMI, issu de l’association de Braas Monier et d’Icopal, est le plus grand fabricant de solutions de couverture et d’étanchéité pour le toit-terrasse et le toit en pente en Europe. Avec 152 sites de production et des activités en Europe, Asie et Afrique du Sud, l’entreprise dispose d’une expérience de 165 ans. Plus de 11 000 salariés incarnent des marques renommées telles que Braas, Bramac, Cobert, Coverland, Icopal, Klöber, Monier, Redland, Schiedel, Siplast, Vedag, Villas, Wierer et Wolfin auprès de leurs clients. Le siège du groupe se situe à Londres. Son chiffre d’affaires a excédé les deux milliards d’euros en 2016.

Source Monier

25/06/2017

Direxa Engineering: ingénierie spécialisée dans l’industrie des matériaux de construction

Direxa Engineering est une société d’ingénierie spécialisée dans l’industrie des matériaux de construction, avec également un savoir-faire dans l’industrie des Céramiques Techniques. Les 15 ingénieurs les plus expérimentés de Direxa Engineering ont une expérience de plus de 15 ans chacun dans ce métier, avec des réalisations qui ont fait leurs preuves dans diverses Industries de Matériaux de Construction.

En se basant sur l’expérience et les accomplissements des membres seniors de son équipe, on peut considérer que Direxa Engineering est le leader mondial pour la réalisation de lignes de production de produits de terre-cuite extrudés en dur (stiff extrusion).  De plus, Direxa Engineering a une quantité de références s’appliquant à toute la palette des produits de terre-cuite, produits de béton, utilisation de cendres-volantes dans différents matériaux de construction, etc.  Enfin, Direxa Engineering a de nombreuses connections avec d’autres sociétés d’ingénierie spécialisées dans différent domaines pour lui permettre de s’attaquer à presque tout projet dans l’Industrie des Matériaux de Construction.

Le “Business Model” de Direxa Engineering
Direxa Engineering se focalise autour de deux missions fondamentales:
L’activité d’ensemblier vendeur de solutions (en anglais : EPC, pour Engineering, Procurement and Construction). Cela signifie que nous n’avons pas d’ateliers propres pour fabriquer les équipements mais que nous forgeons des alliances avec des fournisseurs clés sur chaque marché et parfois pour un projet particulier.  Il faut cependant bien noter et retenir que Direxa Engineering conçoit intégralement, et construit sur site, ses propres fours et séchoirs.
L’activité de services au sens large, supportant les clients de façon exhaustive et soutenue: expertises d’usines, études de faisabilité, service après-vente, mises à niveau et travaux de rénovation, projets d’innovation (Direxa engineering entend devenir rapidement un leader de l’innovation dans son domaine), etc.  Une des conséquences de cette focalisation est que Direxa Engineering n’hésite jamais à établir une filiale locale où que ce soit si nécessaire, et privilégie toujours le recours à des fournisseurs locaux pour développer un service de proximité.

Cette stratégie confère à Direxa Engineering deux avantages majeurs:
Flexibilité importante et résilience face aux cycles économiques naturels
La capacité de travailler intensément et sans compromis dans le meilleur intérêt du client. Il n’y a aucune pression pour donner absolument du travail à ses propres ateliers de fabrication.  Le but de Direxa Engineering est d’étudier le problème propre et particulier du client et de trouver la meilleure solution adaptée, quelle qu’elle soit.  Ainsi Direxa Engineering peut vraiment travailler dans le meilleur intérêt du client en toutes circonstances
Il est clair que le “business model” de Direxa Engineering place le client au centre de son attention.  Le besoin du client est le point de départ de notre travail, la réponse adaptée à ce besoin est notre but ultime.

Le Territoire Géographique de Direxa Engineering

Bien que basé aux USA, Direxa Engineering entend étendre son activité sur l’ensemble du globe.  Les premiers exemples en sont le Brésil et l’Australie, où des filiales ont été créées, opérant avec la même philosophie que Direxa aux USA. La filiale brésilienne est appelée à servir l’ensemble du marché Sud-Américain.
Direxa Engineering poursuit activement des projets en Asie. La Chine est l’objet d’attentions particulières. Direxa Engineering prévoit d’y ouvrir bientôt une filiale ainsi qu’ en Afrique, au Moyen-Orient et en Inde.  Direxa Engineering étudie également des alliances stratégiques qui pourraient offrir des opportunités en Europe de l’Est et en Russie, voire même en Europe de l’Ouest.

Conclusion
Comme expliqué plus haut, le client est au cœur de l’attention portée par Direxa Engineering.  Le fait que JC Steele & Sons soit investisseur dans Direxa Engineering n’est pas anodin car cette société est un des exemples le plus fort de notre industrie, sinon le plus fort, de ce qu’est le service client et de comment se rendre indispensable à ses clients.  Direxa Engineering entend suivre cet exemple et développer la même proximité avec ses clients.  Qu’une société telle que JC Steele & Sons, référence de 120 ans dans la profession, ait investi dans Direxa Engineering est le meilleur sceau d’approbation que Direxa Engineering ait pu recevoir.

Source Direxa

Händle et ZMB Braun – solutions optimales pour l‘industrie tuiles et briques nord-africaine

P lus de 250 machines de la société Händle sont actuellement en service en Afrique du Nord. Environ 30 machines sont utilisées au Maroc et en Tunisie et 220 machines en Algérie, soit comme machines individuelles, soit comme lignes de production complètes. Rien qu‘en 2017, Händle effectuera la mise en service de cinq lignes de préparation et de façonnage complètes.

De même, la nouvelle série de filières de ZMB Braun pour briques creuses est accueillie par un nombre croissant de clients satisfaits. L‘intérêt des briquetiers algériens et celui des investisseurs pour une collaboration avec le groupe d’entreprises Händle – ZMB Braun ne cesse de croître en raison de l‘immense besoin de matériaux de construction en Algérie et du fait que des produits de briqueterie innovants tels que, par exemple, les briques porteuses, peuvent ouvrir de nouveaux débouchés.

Händle sera de nouveau présent cette année avec ZMB Braun au salon Batimec où la société présentera les toutes dernières innovations dans le domaine des filières et informera sur l‘ensemble de la gamme performante de produits et des services offerts. De plus, nos clients algériens profitent du renforcement de la présence de notre entreprise en Algérie : l‘écoute de la clientèle s‘est accrue et, par conséquent l‘assistance technique et commerciale est plus intense.

Source Ziegelindustrie International

24/06/2017

TUNISIE: Poulina va investir 1 milliard de dinars dans les matériaux de construction

"Parmi nos axes de développement pour le futur, le secteur des matériaux de construction fait partie de nos nouvelles priorités", a annoncé M. Abdelwaheb Ben Ayed, fondateur et PDG de Poulina Group Holding (PGH), lors de la communication financière de la société qui se tient actuellement à son siège.

M. Ben Ayed souligne que son Groupe va répondre à une révolution du bâtiment que connaitra la Tunisie mais aussi l'Afrique vers laquelle les matériaux de construction, nouveau cheval de bataille de Poulina, seront exportés.  

"Nous avons mis en place un plan d'investissement de 1 milliard de dinars sur 10 ans", annonce M. Ben Ayed qui ajoutera que les chantiers sont lancés et les terrains sont en train d'être achetés. "Nous estimons que la première usine de fabrication de briques écologiques entrera en production en mai 2018. Une grande innovation qui révolutionnera le secteur de la construction en Tunisie", a-t-il précisé.

Source ILBoursa

23/06/2017

L’usine de méthanisation de Tiru en Saône-et-Loire cherche un débouché complémentaire

A plein régime depuis décembre 2015, l’usine de tri-méthanisation-compostage à Chagny (Saône-et-Loire) présente un premier bilan « conforme à ce qui était prévu lors de sa construction », indique son concepteur et exploitateur, le groupe Tiru, filiale d’EDF.
Toutefois, la première appréciation est : “Peut mieux faire”, si les usagers améliorent la qualité de tri de leurs ordures ménagères et si un débouché complémentaire, probablement le combustible solide de récupération, peut être trouvé.
Le point à l'occasion d’une visite organisée pour le bilan annuel de l'activité d'EDF Bourgogne-Franche-Comté, qui présente cette usine, l’une des quinze de ce type en France, comme une alternative aux énergies fossiles.

De la vapeur est injectée dans la matière organique issue des ordures ménagères, afin de la chauffer et provoquer la production de gaz dans le digesteur (silo au fond).

En choisissant l’option de la méthanisation, le Syndicat Mixte d’Etudes pour la valorisation des déchets ménagers (SMET 71) qui gère les ordures ménagères d’une grande partie de la Saône-et-Loire (320.000 habitants), voulait réduire la part d’enfouissement des ordures ménagères de son centre Sur les Bois à Chagny (Saône-et- Loire).

Préférée à la construction d’une usine d’incinération dont il fut sérieusement question au début des années 2000, l’usine de tri-méthanisation-compostage réalisée et exploitée par Tiru, une filiale d’EDF, montre ses premiers impacts sur le bilan 2016 du SMET 71. Avec un peu moins de 60.000 tonnes, le volume de déchets mis en décharge a diminué de 17,5%.

Ecocea - c’est son nom - a été dimensionnée pour traiter 73.000 tonnes d’ordures ménagères par an. Parce que les poubelles ne contiennent pas que des matières organiques (restes alimentaires, mouchoirs en papier, cotons, papiers et cartons), seulement la moitié sert de matière première à la fabrication de biogaz et de compost. Le reste est enfoui dans la décharge, juste à côté.


Philippe Testevuide, directeur technique, qui fait visiter l'usine toute l'année (36.000 visiteurs depuis son ouverture en juillet 2015), montre la matière organique prête à entrer en phase de méthanisation (à droite), débarrassée de tous les indésirables (à gauche). 

Intégralement vendus à l’usine Terreal de Chagny, les 2,4 millions de m3 de biométhane produits en 2016 - satisfont 30% des besoins de l’industriel, pour la fabrication de 10 millions de tuiles.

Les recettes de biométhane couvrent 58% du coût de fonctionnement annuel de l’usine qui s’élève à 4 millions d’€. Le compost - 27.000 tonnes en 2016 - est réservé à la coopérative agricole Bourgogne du Sud (4.000 adhérents) ; à 6 euros la tonne, en sortie d’usine, il ne représente que 5% du budget.

Le reste (37%) provient de la taxe sur les ordures ménagères et du revenu - très variable selon les cours - de la vente des métaux, retirés des déchets avant le lancement du process de méthanisation.

« La première année d’exploitation est satisfaisante, mais la performance de l’usine sera améliorée lorsque les usagers feront un effort supplémentaire de tri ; beaucoup d’habitants semblent avoir oublié que les canettes et les boîtes de conserve devaient civiquement être triées à la maison, dans le bac jaune ! », expliquait Landry Léonard, vice-président du syndicat de collecte lors de la visite organisée le 10 mai dernier, par EDF Bourgogne-Franche-Comté pour illustrer la diversification des métiers de l’électricien.

Des ajustements doivent aussi optimiser la production de biométhane, notamment pendant la fermeture estivale de l’usine de Terreal. Des aménagements permettront cette année d’injecter le biogaz dans le réseau de la ville.

L’exploitant et son donneur d’ordre vont également explorer une autre piste : celle des combustibles solides de récupération. Ils permettraient de valoriser les déchets résiduels qui partent aujourd’hui en décharge et de porter la part valorisable au-delà de 50% de la collecte.

La technique encore peu développée consiste à produire un combustible solide à fort pouvoir calorifique qui intéressent les cimenteries à partir de bois d’ameublement, résidus d’appareils électriques et plastiques broyés.

Trois tris successifs pour détecter les indésirables

Le premier tri des ordures ménagères est visuel ; l'agent repère les métaux et les plastiques indésirables et les ôte avec une pelle mécanique.

Les camions qui viennent déverser le contenu des poubelles dans un vaste hangar fermé contiennent en effet encore beaucoup de déchets que l’usine est incapable d’ingérer : des encombrants (600 tonnes/an), des appareils électriques et électroniques (0,5 tonnes/ an), des bouteilles de gaz, des pneus, dont la destination devrait être les déchetteries.

« On trouve aussi des bouteilles en plastique qui perturbent le bon fonctionnement des malaxeurs », ajoute Philippe Testevuide, directeur technique du site.

Aussi le premier travail, à la réception du contenu des poubelles, est un pré-tri manuel fastidieux : installé dans la cabine de son tractopelle, un agent repère visuellement les plus gros intrus. Ensuite, un tri mécanique, magnétique et par le courant de Foucault extrait aluminium, cuivre, fer, inox, revendus pour être recyclés.

Le mouvement des poubelles les uns contre les autres pendant 3 à 4 jours provoquent l'ouverture des sacs et une dégradation de la matière organique 

Un troisième et dernier tri des indésirables est effectué à la sortie des malaxeurs, les deux gros tubes rotatifs de 48 mètres de long qui en, en trois jours, réduisent les sacs poubelle et leur contenu en une matière grossièrement tamisée.

La matière organique fait ensuite un séjour dans deux digesteurs, des silos de grande hauteur où des bactéries en aérobie, en se nourrissant du digestat chauffé à une température de 50 degrés, fabriquent du biogaz.

Dans ces silos, en digérant la matière organique, sans oxygène et à une température de 50 degrés, les bactéries produisent du biogaz en 21 jours. 

Le biogaz est épuré pour obtenir du biométhane : on sépare les impuretés, l’eau et les autres gaz notamment le dioxyde de carbone. Puis il est filtré au travers de charbon actif et compressé dans un gros ballon avant d’être injecté dans le réseau de gaz naturel.

Dernière étape, la fabrication du compost. Mélangés à des déchets verts, le digestat (ce qui reste après production de biogaz), fermente et mature sous abri pendant 14 jours. 27.000 tonnes de compost ont ainsi été produites l’an dernier, et dispersées dans une cinquantaine d’exploitations en grandes cultures de Saône-et-Loire.


« La qualité agronomique (matière organique, azote, potassium, calcium, magnésium...) de ce compost est très au-dessus du seuil minimal exigé par la norme européenne NFU 44-051 », affirme le directeur du site qui dit que le produit est bien perçu par les agriculteurs.

Exemple de réussite d’un projet d’économie circulaire, l’usine de tri-méthanisation-compostage de Chagny n’est pas pour autant transposable telle quelle sur un autre territoire, estiment ses concepteurs.

La nécessité d’adapter le process et ses débouchés au contexte local explique sans doute qu’il n’y a pas plus d’une quinzaine d’usines de ce type en France.

22/06/2017

DTU 40.23 - Couverture en tuiles plates de terre cuite

Retrouvez ci-dessous toutes les informations relatives au DTU 40.23 - Couverture en tuiles plates de terre cuite.

Domaine d’application

Le DTU 40.23 « Couverture en tuiles plates de terre cuite » donne les spécifications de mise en œuvre des couvertures en tuiles plates de terre cuite, aptes à couvrir tous les bâtiments, quelle que soit leur destination, situés en plaine (altitude inférieure ou égale à 900 m) et en France métropolitaine.

Le défaut de planitude générale des supports de liteaux ne doit pas dépasser 1/100 de la portée des liteaux, en tous points du support de la couverture.

La version en vigueur de ce DTU, à la publication de cette fiche, est celle de septembre 1996.

Matériaux visés

Les exigences que doivent respecter l’ensemble des composants nécessaires à la mise en œuvre d’une couverture en tuiles plates de terre cuite (tuiles, supports de couverture admissibles, fixations, mortiers, bandes métalliques, écran de sous-toiture, etc.) sont données dans le chapitre 3 de la partie 1 du DTU 40.23.

Mise en œuvre : l’essentiel

Selon la zone d’application (I, II ou III) et la situation du bâtiment (protégée, normale ou exposée), la pente minimale admissible (pour des rampants de longueur de projection inférieure ou égale à 8 m) devra être comprise entre 0,70 et 1,25 m/m, la longueur de recouvrement pouvant être supérieure ou égale à 7, 8 ou 9 cm selon les zones considérées.

Les divers cas sont rassemblés dans le tableau 1 du DTU 40.23. En cas de présence d’un écran de sous-toiture, les pentes minimales sont abaissées (tableau 2 du DTU 40.23).

La mise en œuvre peut s’envisager sur des liteaux :
bois : les tuiles doivent reposer sur trois appuis au minimum et être fixées à l’aide d’une pointe ou d’une agrafe à chaque intersection d’un chevron avec un liteau. Les dimensionnements des systèmes de fixation dépendent de l’épaisseur de l’élément à fixer ;
métalliques : les tuiles sont posées sur des cornières. L’épaisseur et la largeur des ailes dépendent de la portée et des charges.

La fixation des tuiles au support est réalisée par clouage ou crochet. Le dimensionnement se fera en fonction de la pente et de l’exposition au vent de la couverture ainsi que de la région de localisation de l’ouvrage considéré. Le tableau 5 du DTU 40.23 rassemble les diverses conditions.

Le DTU 40.23 traite également de la mise en œuvre des ouvrages particuliers, notamment :
l’égout : il peut être droit ou biais. Dans le premier cas, les tuiles doivent avoir la même inclinaison que les autres tuiles. Dans le second, les tuiles sont tranchées parallèlement à la ligne d’égout ;
le faîtage : dans le cas d’un faîtage droit, la ligne de faîte est recouverte à l’aide de faîtières à emboitement, à glissement ou disposées jointivement bout à bout. Leur fixation peut être réalisée soit au mortier, soit par clouage, pannetonnage ou crochetage, soit par tire-fond ;
les noues : elles sont en général réalisées comme des égouts biais. Elles sont mises en œuvre soit à l’aide d’éléments spéciaux ; soit à l’aide de double tranchis de tuiles ou noquets cachés entre la superposition des tuiles ;
les rives : lorsqu’elles sont de tête, elles peuvent dépasser du mur ou non. Dans le premier cas, le dernier rang de tête est recouvert d’une garniture métallique associée à une bande de solin. Dans le deuxième cas, les rives de tête sont constituées par des faîtières en terre cuite spéciales ou une garniture métallique.

Les rives peuvent aussi être latérales. Elles sont alors généralement mises en œuvre à l’aide :

  • de tuiles scellées entre elles ;
  • d'une bande ou de noquets métalliques ;
  • de tuiles ou demi-tuiles de rive à rabat.


Les écrans interposés entre le comble et la face interne des tuiles de couverture peuvent se présenter de différentes manières :

  • souple ;
  • en bois ou dérivé du bois ;
  • en terre cuite ;
  • en éléments porteurs en maçonnerie, préfabriqués ou non.


Selon l’occupation des combles, l’isolation thermique sera mise en œuvre en plancher de comble ou sous rampant.

Une ventilation de la sous-face des tuiles doit impérativement être assurée, soit par le volume des combles (isolation en plancher), soit par une lame d’air continue entre la sous-face de la couverture et son support.

N.B. : Cette fiche rapporte l’essentiel du DTU 40.23. Elle ne se substitue en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’AFNOR ou du CSTB.

Source Batirama.com  

21/06/2017

BELGIQUE: A 25 ans, Mathieu Guitoun se lance dans la fabrication artisanale de la brique de Hesbaye



La brique de Hesbaye, le fruit du travail de Mathieu Guitoun, jeune entrepreneur dynamique.

Mathieu Guitoun est un jeune entrepreneur. A 25 ans, il a décidé de devenir briquetier. Sa production est artisanale, celle d'une brique comme on la faisait jadis dans nos campagnes, la brique de Hesbaye.

Un rêve se réalise
A 25 ans, Mathieu Guitoun réalise son rêve, celui de travailler dans le secteur de la construction aux côtés de son père qui s'est spécialisé dans la rénovation de bâtiments anciens.  Il utilise un produit du terroir: la brique de Hesbaye. "C'est une brique 100% terre cuite.  C'est un produit du terroir car dans le temps, ils utilisaient la terre de terrassement pour fabriquer ces briques.  Cette brique a un potentiel au niveau de l'absorption de l'humidité, de la résistance, de l'aspect.  Certains bâtiments, comme celui-ci, à Jeneffe où nous travaillons, par exemple, datant d'avant 1800, prouvent qu'elle vieillit très bien", explique Khalile Guitoun, le père de Mathieu.

La brique de récupération devient rare et couteuse
Pour transformer les bâtiments, l'entreprise familiale achetait des lots de briques de récupération.  "Elles ont tendance à se raréfier, les prix ont donc eu tendance à flamber. Et lorsqu'on achetait plusieurs palettes, dans le lot, on constatait qu'au coeur de la palette, les briques étaient soient des morceaux qu'on ne savait pas réemployer, soit elles étaient mal cuites.  Donc, là, c'était un problème qualitatif".  De là est donc venue l'idée à Mathieu d'essayer d'en faire soi-même en respectant les traditions.

Le site de production est à Riemst
Mathieu est très débrouillard.  Il est parfait bilingue.  Son diplôme de comptable en poche, il a visité des briqueteries et a acheté une machine pour produire ses propres briques.  Depuis quelques mois, il s'est installé à Riemst où sa matière première est la terre de Hesbaye évidemment. "A partir du moment où la brique est pressée, on va la faire sécher de manière naturelle, à l'air libre dans les hangars.  Une fois que la brique est séchée, elle va être mise sur palette réfractaire pour être enfournée. Selon les saisons, ça varie entre quatre et huit semaines.  La cuisson se fait sur une durée de deux semaines.  Pendant ces deux semaines, on va atteindre un pic de 1080, 1100 degrés et puis on redescendra de manière contrôlée jusqu'à obtenir le produit fini", explique-t-il.

La demande est forte, le succès assuré
Nous avons rencontré Guy Bourguignon, architecte à Geer.  Pour cet architecte habitué à transformer d'anciens bâtiments, la brique de Hesbaye va connaître un nouveau départ avec cette initiative industrielle: "C'est un bon produit qui, à mon avis, va apporter quelque chose à toutes les rénovations qu'on pourra faire dans le futur.  Il faut voir au niveau marketing comment ça va être développé, quelle sera la demande, quelle sera la concurrence des gros groupes en fonction du prix de vente de la brique, mais je pense que c'est une brique qui va avoir du succès".

Moins d'un euro
En fonction du format et du modèle, le prix de la brique de Hesbaye se situe entre 45 et 70 centimes.

Source RTBF

20/06/2017

La palette attitude Koramic renforce l'engagement Wienerberger

Après avoir ouvert la voie du secteur dès 2012 dans la consignation des palettes avec la gamme Porotherm, Wienerberger étend la consignation depuis le 2 mai 2017, sur l’ensemble de l’Hexagone, aux palettes des tuiles et accessoires Koramic. Une démarche écoresponsable poussée en faveur du respect de l’environnement que Wienerberger souhaite partager avec les professionnels distributeurs et poseurs sous la maxime : “Pour la planète adoptons la palette attitude”.

Palettes renforcées, environnement préservé, économie circulaire, le tryptique Wienerberger gagnant !

En France, alors qu’une palette consignée peut effectuer jusqu’à 10 rotations en conservant toutes ses performances, 60 millions de palettes sont perdues par an, soit l’équivalent de 6.000 m3 de bois détruits par jour ouvrable*.
Éco-responsable depuis l’origine, Wienerberger privilégie la réutilisation des palettes et renforce encore son accompagnement auprès des entreprises dans leur gestion de déchets. En effet, Wienerberger confirme son ancrage historique dans le développement durable en déployant la consignation des palettes pour tous les produits et accessoires terre cuite de sa marque Toiture Koramic.

Accompagnement du réseau de distribution et des artisans

Dans un souci d’accompagnement, depuis plus de cinq mois, Koramic informe et sensibilise ses partenaires distributeurs. Une communication sur mesure a été déployée avec les partenaires de la marque, complétée par une information et des rencontres régulières sur le terrain.
Afin de relayer l’information auprès des artisans, Koramic met également à la disposition des négociants un pack d’information composé d’une documentation détaillée et d’affiches.
Le retour des palettes peut être organisé soit par le distributeur luimême soit par Koramic, un formulaire de retour et de contact est alors disponible en un simple clic, via le formulaire PDF téléchargeable sur le site Internet de Wienerberger : www.paletteconsignewienerberger.fr

Les équipes commerciales, le service client et logistique sont aussi présents en back office pour répondre à toutes les questions et faciliter la mise en place de la consignation.
Des étiquettes sur les housses aident à distinguer ces nouvelles palettes ainsi que la flamme Wienerberger apposée sur les quatre côtés. Ces palettes à quatre entrées facilitent également la manutention sur chantier.
Autres informations d’importance mises en avant dans ce dispositif, les préconisations de l’Ademe sur les déchets bois et emballages non souillés.

Optimisation des palettes

Enfin, le développement de cette démarche a aussi été l’occasion pour Koramic de renforcer ses palettes : plus résistantes, elles garantissent de meilleurs gerbages et houssages, une manutention facilitée, une protection optimale des tuiles et bien entendu, une identification aisée (marquage intégré sur les quatre côtés). De quoi finir de convaincre tous les acteurs de la filière à adopter la “palette attitude”.

Source Wienerberger

19/06/2017

Une nouvelle tuile Grand Moule du Sud : l’Héritage Canal

TERREAL renforce son offre dédiée à la rénovation avec la nouvelle tuile de la gamme Grand Moule du Sud : l’Héritage Canal. Facile à poser sur tous les types de charpente, elle allie parfaitement l’élégance d’une tuile canal traditionnelle aux performances d’une tuile moderne, pour des toitures fidèles à l’architecture du sud de la France.

Unique sur le marché grâce à son esthétique canal accentuée et son fort jeu longitudinal et latéral, la tuile Héritage Canal habille tous les types de toitures, même à faible pente, en leur apportant authenticité et caractère. Son courant et ses 5 coloris redonnent une âme aux bâtis et réinventent l’esprit canal.

Source Terreal

18/06/2017

CERITHERM: Brûleurs CT100* et CT150* type « jet » avec contrôle de flamme

CERITHERM dispose d’une gamme de brûleurs gaz. Cette gamme répond aux contraintes de votre process de fabrication.

Leur design est un véritable atout : les brûleurs s’adaptent à tout type de configuration sans modifications de vos installations.

Pour une intégration optimale de ses brûleurs sur vos équipements, CERITHERM vous propose :

  • auditer vos installations,
  • mesurer votre consommation d’énergie,
  • vous accompagner dans la transition vers des énergies alternatives aux énergies fossiles.

CERITHERM est également en mesure de faire évoluer ses brûleurs pour répondre à vos besoins.

Brûleurs CT100* et CT150* type « jet » avec contrôle de flamme:

  • Puissance 100kW et 250kW
  • Consommation réduite en fonctionnement « petit feu »,
  • Parfaitement adaptés à un brassage intensif à basse température,
  • Vitesse de sortie configurable (jusqu’à 250m/s),
  • Ouvreaux démontables, nettoyables, réparables.
  • Compatibles biogaz, syngas,
  • Existent avec ouvreaux SiC.

ALFI TECHNOLOGIES: SOLUTIONS POUR L’INDUSTRIE DE LA TERRE CUITE

40 ans d’innovation dans la terre cuite

ALFI Technologies met à votre service plus de 40 années d’expérience et d’innovation et s’appuie sur 200 références de séchoirs ANJOU®, véritable référence du séchage rapide et 300 lignes de manutention construites dans le monde (tuiles et briques).

  • Automatisation
  • Augmentation de capacité
  • Fiabilité et robustesse dans le temps

Séchoir ANJOU est une marque déposée par ALFI Technologies

ALFI Technologies investit de façon continue en R&D et s’appuie sur des compétences en ingénieries multi-marchés adaptées à différents types de matériaux. La société s’enrichit de cette culture unique et d’une forte dimension internationale pour proposer des solutions clés en main à ses clients sur le marché de la terre cuite, plus précisément dans les fonctions connexes ou complémentaires au cœur du process (transitique produits, manutention de séchoir, équipements spécialisés…).
ALFI Technologies s’est positionnée en tant que partenaire des plus grands intégrateurs ou directement en tant qu’intégrateur.

Coupeurs
ALFI Technologies intègre plusieurs types de coupeurs permettant de traiter une large gamme de produits : briques, tuiles filées, blocs ou pavés. Le coupeur grande capacité présenté par ALFI Technologies...

Chargeurs
Chargeurs haute cadence Les chargeurs ALFI Technologies permettent l’alimentation à haute cadence du séchoir, quelle que soit la largeur et la structure des balancelles. Ils sont conçus pour préserver la qualité...

Séchoirs rapides ANJOU®
Séchoirs rapides ANJOU® ALFI Fimec, créateur du séchoir ANJOU®, séchoir rapide à balancelles, développe de nouvelles technologies pour des séchoirs plus compacts, plus rapides, moins consommateurs d’énergie. Ces séchoirs, équipés...

Déchargeurs
Déchargeurs de séchoir Les déchargeurs de séchoirs assurent aussi une fonction de pré-empilage. ALFI Technologies a développé deux catégories de déchargeurs. Des déchargeurs classiques : ils permettent d’évacuer les produits...

Empileurs
Empileurs haute performance Les empileurs ALFI Technologies chargent les wagons en empilant les produits directement dessus. Ils proposent deux types de chargement : sur la longueur du wagon, configuration classique sur la...

Equipements de wagons transbordeurs: roues et graisseurs
Roues de wagons Les roues fabriquées par ALFI Technologies (200, 240, 300 et 400 mm) sont forgées en acier avec une profondeur de trempe de la bande roulement et des joues...

Transitique wagons
Transitique de wagons transbordeurs et équipements au sol Les éléments de manutentions wagons, pour four ou séchoir, assurent un fonctionnement optimal de votre installation. ALFI Technologies développe des transbordeurs qui s’adaptent à...

Dépileurs, palettiseurs et paquetiseurs
Dépileurs, palettiseurs et paquettiseurs ALFI Technologies révolutionne les opérations de dépilage avec une solution polyvalente qui permet de déposer les paquets de briques directement sur un camion ou sur une...

Nettoyeurs de wagon
Nettoyeurs de wagon Les nettoyeurs dépoussiéreurs ALFI Technologies assurent les fonctions de dépoussiérage et d’évacuation des poussières et débris (casseaux) sur  le dessus du wagon et sous les fausses soles

Source ALFI Technologies

17/06/2017

Sales Leaders 2017: Les managers commerciaux dans l'industrie - Pierre-Alexandre Cheminel, directeur commercial et marketing de Bouyer-Leroux

Pierre-Alexandre Cheminel, directeur commercial et marketing de Bouyer-Leroux 

Bio: Pierre-Alexandre Cheminel est l'un de ces directeurs commerciaux qui profitent d'une double casquette : vente et ingénierie. Il démarre sa carrière en 2003 après un diplôme de l'Ecole Centrale Paris, au sein de la direction industrielle de Placoplâtre, en tant qu'ingénieur.
Membre du comité de direction de l'usine, il manage alors une cinquantaine de personnes.

Puis, Pierre-Alexandre Cheminel décide d'ajouter une corde à son arc, en devenant titulaire d'un MBA de l'ESCP Europe. Cela lui permet de revenir chez Placoplâtre, mais cette fois-ci pour rejoindre la direction commerciale, d'abord en qualité de responsable du pricing puis en tant que directeur régional, où il manage une force de vente de 16 personnes.

En 2016, Pierre-Alexandre Cheminel devient directeur des ventes France de la division Norton Industrie et Réparation Automobile Felxovit chez Saint-Gobain Abrasifs.
Un poste pour lequel il encadre une équipe de trois directeurs régionaux ainsi que 30 commerciaux.

Mars dernier lui offre un nouveau challenge : celui, en tant que directeur commercial et marketing de Bouyer Leroux, de renforcer le leadership de sa nouvelle entreprise sur ses marchés-cibles.

Effectif managé: 2 personnes
Projet marquant: Chez Placoplâtre, dans le cadre d'un investissement sur une nouvelle chaîne de production sur le site de Vaujours, la fermeture de l'unité opérationnelle dont il avait la responsabilité a été décidée. En dépit du départ d'une partie de ses équipes vers la nouvelle unité de production, il a su mobiliser les personnes restantes jusqu'au bout pour faire face à la demande des clients toujours importante et permettre de faire de cette dernière année d'exploitation l'une des meilleures de l'atelier en 30 ans.
Vie associative: Membre d'ESCP Europe Alumni

Source ActionCO par Laurent Bailliard

16/06/2017

Systèmes réfractaires très résistants aux sollicitations thermiques, mécaniques et chimiques » Wagon de four tunnel construit avec des produits Refratechnik

La société Refratechnik Ceramics GmbH – anciennement Burton – fournit des systèmes réfractaires complets pour les fours tunnel de l’industrie de la terre cuite:

  • Systèmes pour parois et voûtes
  • Systèmes pour wagons de four
  • Accessoires d’enfournement


Le point fort de la société Refratechnik Ceramics est la livraison de solutions individuelles. Forts de plus de 60 ans d’expérience dans le domaine de l’industrie réfractaire, Refratechnik Ceramics dispose d’un savoir-faire étendu, qui lui sert à faire évoluer en permanence ses produits durables et très performants. Refratechnik Ceramics fournit des systèmes réfractaires capables de résister à des conditions extrêmes dans les fours, en particulier aux sollicitations thermiques, mécaniques et chimiques. Et pour épargner l’énergie, Refratechnik Ceramics propose de nouveaux matériaux d’isolation.

Source Ziegelindustrie International

15/06/2017

Matériaux de construction : après un premier trimestre solide, la reprise se confirme !

Timide l’année dernière, prometteuse au premier trimestre 2017, la reprise des matériaux de constructions semble finalement bien décidée à s’installer durablement ! En effet, les chiffres enregistrés par l’Unicem en avril dernier semblent confirmer plus que jamais le retour à la croissance du marché, aussi bien pour les granulats que le béton prêt à l’emploi. Le bilan détaillé.

Après l’année mitigée qu’a été 2016 pour le marché des matériaux de construction, le premier trimestre 2017 semblait avoir ''enfin'' sonné la reprise, avec une « tendance très encourageante» observée par l’Unicem (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction). Un phénomène qui s’est raffermi au début du printemps.

En effet, dans ses dernières observations, l’organisme révèle que « le mois d’avril s’inscrit dans le mouvement de redémarrage de l’activité des granulats et du BPE ». Ce dernier, tout d’abord, progresse de 6,1% sur un an, même si l’activité enregistrée en avril est en baisse par rapport au mois précédent (-2,5%). Sur le dernier trimestre, en revanche, la production de Béton prêt à l’emploi progresse de 7% par rapport aux trois mois précédents, et même de 10,6% sur l’année.

La hausse est également au rendez-vous pour les livraisons de granulats (+5,6% par rapport à avril 2016). « Sur les trois derniers mois connus, l’activité s’inscrit en progression de près de 5% au regard des trois mois précédents et de +8,3% par rapport à la même période un an plus tôt », révèle l’Unicem.

De manière générale, l’ensemble de l’activité matériaux profite d’une conjoncture favorable, avec une croissance de 3,0% entre les premiers trimestres 2016 et 2017. L’Union note cependant que « les tuiles et les produits béton à destination des travaux publics restent en marge de ce redémarrage ».
Le BTP en profite aussi

Du côté du bâtiment, le climat est également au beau fixe. Profitant d’une amélioration de la conjoncture en mai dernier, l’activité continue de croître. Ainsi, sur le trimestre février-mars-avril, les mises en chantier de logements ont augmenté de 15,1% par rapport à la même période l’année précédente, soit un cumul sur l’année à 391 500 unités.

Les demandes de permis, elles, progressent de 13,7% sur le trimestre (365 400 autorisations annuelles délivrées à fin avril). Les chantiers pour les locaux d’activité sont également en bonne forme, avec une évolution de 8% sur un an. L’Unicem, qui se base sur les données de l’Insee, constate par ailleurs que les ventes suivent le mouvement (+8,1% sur un an).

Enfin, les professionnels des travaux publics, s’ils soulignent un certain éclaircissement, préfèrent rester prudents. « Ils anticipent un nouveau raffermissement de leur activité pour les mois à venir, le solde d’opinion atteignant un niveau inconnu depuis dix ans », s’inquiète l’Unicem. En espérant que les prochains mois leur donneront tort.

Source Batiweb

14/06/2017

Gironde-sur-Dropt: Incendie dans la briqueterie Bouyer Leroux

Un incendie accidentel s'est déclaré dans une briqueterie à Gironde-sur-Dropt.

Le Lundi 29 Mai  après-midi, un incendie accidentel s’est déclaré à la briqueterie Bouyer-Leroux Structure sur la commune Gironde-sur-Dropt.

Le feu a pris sur un tapis roulant et s’est propagé à l’entrepôt de reconditionnement de palettes.

Les pompiers et les gendarmes ont été dépêchés sur place. L’origine du sinistre serait due à un dysfonctionnement électrique.

Source Le Républicain par Bernard Peyré

13/06/2017

Pays de Bray : les opposants aux carrières Bouyer Leroux font appel à Corinne Lepage

L’association Non aux carrières en Bray s’est attaché les services du cabinet d’avocats Huglo-Lepage, spécialisé dans le droit de l’environnement et dans lequel l’ancienne ministre de l’Environnement est associée.

« Nous voulons être prêts, le jour où l’enquête publique sera lancée », souligne Christophe Marsille, le président qui, depuis 2015, milite afin de contrecarrer les projets de l’entreprise Bouyer-Leroux en pays de Bray.
« Nous ne voulons pas attendre que l’industriel veuille bien nous faire connaître la réalité de son projet pour agir, poursuit-il. Le cabinet de Corinne Lepage va nous aider, avec une démarche professionnelle, à établir un plan d’action et à agir en justice le moment voulu.

« Bouyer-Leroux doit partir !
L’association revendique « plusieurs centaines d’adhérents, mais refuse d’en donner le nombre exact : « Nous avons en tout cas aujourd’hui, suffisamment d’argent, grâce aux cotisations et aux dons, pour faire cette démarche auprès de ce cabinet d’avocat réputé...

Autour de Sommery et de Sainte-Geneviève-en-Bray, épicentre de la contestation d’un projet qui étend ses ramifications également du côté de La Ferté-Saint-Samson, Mésangueville et d’Hodeng-Hodenger, les pancartes des opposants sont bien visibles devant de nombreuses habitations.
« Les gens sont inquiets, insiste Christophe Marsille. Des transactions immobilières ont échoué ces derniers mois quand les acheteurs ont appris l’existence de ce projet d’extraction d’argile et de briqueterie ; nous avons des témoignages en ce sens. Et ceux qui ont des projets susceptibles de générer des emplois en lien avec le tourisme, l’environnement ou l’agriculture, y renoncent...

L’association estime que les avocats ne seront pas, le moment venu, à court d’arguments pour saisir un tribunal : « Les préjudices sont là : nuisances provoquées par la poussière, nuisances sonores, destruction du paysage, pollution visuelle, destruction d’emplois directs et indirects en très grand nombre...

Les opposants, qui ont professionnalisé leur discours et leur communication, sans doute sur les conseils de leurs nouveaux avocats, multiplient également les contacts auprès des élus et des décideurs. « Alors qu’il est question de créer un parc naturel régional en pays de Bray, ce projet apparaît à contre-courant...

Les anti-carrières martèlent leur détermination, il n’est pas question pour eux de compromis : « La seule issue, c’est le retrait du projet de Bouyer-Leroux, qu’ils quittent le pays de Bray !

En attendant, Non aux carrières en Bray organise une réunion publique d’information le samedi 24 juin à 18 h 30 dans la salle communale de Beaubec-la-Rosière. « Nous ferons le point sur notre action, conclut Christophe Marsille."

Source Paris Normandie

12/06/2017

Erlus étend sa gamme de tuiles Linea

Le fabricant de tuiles Erlus développe sa gamme Linea pour la rendre toujours plus attrayante et simple à poser. Elle se décline désormais dans plusieurs teintes, avec un aspect résolument contemporain qui s’adapte à toutes les architectures.

Une tuile plus facile à poser

Erlus poursuit ses innovations pour faciliter les opérations de pose des tuiles en terre cuite sur toutes les toitures. Le fabricant vient notamment de revoir sa gamme Linea, disponible depuis 2000. Celle-ci accueille désormais un nouveau produit présentant un pureau élargi.
Ce choix permet d’accéder à une pose simplifiée et plus économique. En effet, les recoupes deviennent inutiles, pour une mise en place sur des liteaux espacés de 37,3 à 39,3 cm. Cette tuile à pureau plat Linea affiche des dimensions de 29 x 48,5 cm. Elle présente une surface lisse et régulière, pour un aspect contemporain et stylé. Il faut en prévoir 10,5 au m².

Plusieurs teintes pour tous les styles extérieurs

La tuile à pureau plat Linea est proposée dans six teintes : en version vieillie, rouge, gris ardoise, noir mat et brun. Cela permet de personnaliser les toitures en les associant à l’apparence architecturale de l’immeuble. Sa solution d’emboîtement lui assure également une parfaite étanchéité et une forte résistance au vent. Un plus qui lui permet d’être positionnée sur quasi toutes les toitures.
Ainsi, cette solution est prévue pour durer dans le temps. Cuite à 1 200°C, la tuile est aussi très solide au niveau de sa structure. Elle est de la même façon adaptée aux travaux de rénovation pour protéger toujours mieux les constructions.

Source ETI Construction

11/06/2017

Vous pouvez précommander les tuiles solaires Tesla en France

Les toits solaires proposés par Tesla avec des batteries Powerwall sont en précommande en France.

Elon Musk avait fait sensation en présentant l’étape « toit solaire » du grand plan pour Tesla. Dans la tête du milliardaire, une maison et le véhicule d’une famille ou d’un particulier doivent être entièrement autonome du côté de l’énergie et cela passe par des tuiles solaires et des énormes batteries nommées Powerwall. Les tuiles présentées par Tesla misent beaucoup sur le design : au-delà des modèles textures et lisses qu’on trouve en noir qui ressemblent à des panneaux traditionnels, on peut trouver des tuiles toscane oranges et des tuiles ardoises, qui, comme leur nom l’indique, ressemblent à de l’ardoise.

Depuis aujourd’hui, il est possible de précommander ces toits solaires du futur en France même si on trouve malheureusement peu de détails sur la commercialisation réelle du produit. En effet, Tesla vous propose simplement de bloquer un acompte de 930 € pour réserver un toit et un Powerwall sans vous donner le montant réel de l’ensemble. C’est la même stratégie qui avait été appliquée pour les Model 3 : les personnes ayant pré-réservé la Tesla d’entrée de gamme ne connaissent pas le prix définitif de l’engin ni ses options.

Côté caractéristiques, il s’agit de tuiles de 184 mm x 365 mm, résistantes à l’impact, au vent et au feu (vous trouverez les standards sur la capture ci-dessous). Elles sont garanties par Tesla pour «  toute la durée de vie de votre maison, sans limite dans le temps ». Leur puissance est garantie pendant 30 ans et elles peuvent s’installer sur un toit incliné de 14 à 90 degrés.

Notez que vous pouvez faire des simulations avec un calculateur proposé par Tesla sur la version américaine du site. N’oubliez pas de convertir les pieds carrés en mètres carrés (100 m2 équivaut plus ou moins à 1000 pieds carrés). Vous pouvez trouver une adresse aux États-Unis en utilisant ce générateur.

Les livraisons sont, elles, prévues pour 2018. Si vous comptiez vous équiper en solaire et que vous avez la somme demandée de côté, vous pouvez toujours garder une place : le montant sera intégralement remboursé jusqu’à la phase définitive d’achat et d’installation — on imagine après avoir reçu le devis par rapport à la surface à couvrir. Cela permet en tout cas à Tesla de jauger l’intérêt du produit en France.

Source Numerama par Julien Cadot

10/06/2017

La résurrection de la céramique de Kim Lan

Situé en banlieue de Hanoï, le village de Kim Lan était autrefois réputé pour la production de la céramique. Héritage disparu d’un passé lointain, les villageois ont fait renaître de ses cendres le métier traditionnel. Et l’activité se porte bien.

Le village de Kim Lan n’est pas aussi connu que son voisin Bat Tràng, considéré comme la terre de la céramique de Hanoï. Et pourtant, selon des documents historiques, ce métier s’y est développé bien des siècles auparavant.

D’après des cadres et chercheurs de l’Institut d’archéologie, l’âge d’or de la céramique de Kim Lan remonte aux XIIIe et XIVe siècles. Le village était le centre de production des céramiques de l’ancienne capitale Thang Long.

Puis, au fil du temps, elle est tombée en désuétude. Crise oblige, certains céramistes se sont reconvertis en paysans, tandis que d’autres, tenant à vivre du métier traditionnel, ont migré à Bat Tràng.

Bien que rattaché au district de Gia Lâm, le canal Bac Hung Hai sépare le village de Kim Lan de la partie la plus densément peuplée du district. Ce qui explique la relative tranquillité qui y règne comparé à son alter-ego de Bat Tràng, qui accueille toujours une foule de touristes et d’amateurs de céramiques raffinées.

Le passé retrouvé

C’est grâce à l’archéologue japonais Nishimura Masanari et à ses collègues - qui avaient découvert des objets montrant l’essor de la céramique de Kim Lan dans le passé - que l’on a décidé de faire revivre cette tradition précieuse.

Aujourd’hui, le village compte 240 foyers de producteurs de céramique, représentant 15% du total des foyers locaux. Un taux relativement faible, surtout lorsque l’on sait que leurs produits génèrent 60% du chiffre d’affaires du village.

Environ 70% des producteurs ont recours au gaz et non au charbon pour le chauffage des produits. Cette méthode permet une productivité deux fois plus élevée qu’avec le charbon. De plus, les fours à gaz permettent de réaliser des produits de meilleure qualité, plus résistants aux dommages du temps.

À la différence des produits de Bat Tràng, vifs et délicats, ceux de Kim Lan sont moins élaborés. Les objets servent avant tout à la construction, tels que briques, tuiles ou pots de fleurs.

Plusieurs dizaines d’années après la résurrection du métier traditionnel, les articles en céramique de Kim Lan gagnent de plus en plus de parts de marché. Certains foyers céramistes gagnent même très bien leur vie. Notamment celui de Nguyên Van Thinh, spécialisé dans la fabrication de briques et de tuiles, dont le carnet de commande est rempli toute l’année.

Source Le Courrier du Vietnam par Mai Quynh

09/06/2017

Le limougeaud 3 D Ceram veut révolutionner l'impression 3 D

Le limougeaud 3 D Ceram veut révolutionner l'impression 3 D La Ceramaker 900 est équipée d’un plateau de 30 x 30 cm. 

Depuis 2001, 3 D Ceram n’a cessé d’innover pour s’imposer dans l’impression 3 D grâce à la stéréolithographie. Mise au point dès 1998 par Thierry Chartier et Christophe Chaput au sein du laboratoire SPCTS installé à Limoges (Haute-Vienne), cette technologie permet de réaliser des pièces par couches successives grâce à un laser qui polymérise une pâte pour partie en céramique. Cela permet de produire un modèle unique ou de petites séries.

Après sa reprise en 2009, par Christophe Chaput et Richard Gaignon, l’activité de 3 D Ceram se diversifie avec la fabrication d’une machine d’impression 3 D, mais la production de céramiques techniques se poursuit. "Nous avons haussé le niveau en travaillant pour le secteur biomédical, afin de fabriquer des implants crâniens et des substituts osseux. Le luxe (joaillerie, horlogerie), puis les industriels de l’aérospatial, de l’aéronautique, de la défense et de l’automobile ont fait appel à nous, explique Richard Gaignon, l’un des co-dirigeants de 3 D Ceram. L’an dernier, nous avons commercialisé une machine que nous avions développée en interne pour nos besoins".

La Ceramaker 900 est équipée d’un plateau de 30 x 30 cm. Dix machines ont trouvé preneur et sa petite sœur, la Ceramaker 100 arrive sur le marché avec son plateau de 10 x 10 cm. "Celle-ci va accélérer l’innovation avec des propriétés technologiques de haute performance et apporter un potentiel de développement pour les clients de tous secteurs notamment les centres de recherche", assure Richard Gaignon. Un partenariat a été signé avec le japonais Aspect.

Une machine capable d’imprimer plusieurs matériaux à la fois est à l’étude et sera lancée en septembre. 3 D Ceram compte quinze salariés, a réalisé un chiffre d’affaires de 2,1 millions en 2016 et vise 3 millions cette année avec un développement prévu en Grande-Bretagne et aux États-Unis.

Source L'Usine Nouvelle par Corinne Mérigaud

Clay XYZ, une nouvelle imprimante 3D d’argile pour modeler plus facilement

La Clay XYZ, développée par l’entreprise éponyme, est une nouvelle imprimante 3D qui fonctionne à partir d’argile. Elle a récemment débuté sa campagne Kickstarter dont elle a déjà largement atteint son objectif de $10 000. Cette machine permet de créer plus facilement des objets en céramique et fait de la poterie un jeu d’enfant. Un outil idéal pour tous les passionnés et sculpteurs qui veulent mêler des techniques de fabrication additive avec des méthodes plus traditionnelles.

En 2015, John Fray, un artiste spécialisé dans la céramique, a crée Clay XYZ pour démocratiser l’utilisation de l’argile. Il s’est tourné vers l’impression 3D qu’il a considérée comme un « outil magique » qui pourrait donner vie à des designs en céramique beaucoup plus rapidement et facilement. Il existait déjà des machines capables d’imprimer des objets en céramique sur le marché mais les industrielles étaient plus chères et les imprimantes de bureau n’étaient pas satisfaisantes en termes de résultat final. 3DCeram par exemple est spécialisée dans l’impression 3D céramique mais cible plutôt le marché du biomédical ou encore du luxe.

Avec un volume d’impression de 210 x 220 x 180 mm, la Clay XYZ permet de créer toutes sortes de design à partir de n’importe quel argile à modeler basique. La startup a déjà téléchargé plusieurs modèles 3D sur son site et sur Thingiverse. Créez ainsi des tasses, des bols, des abat-jours ou encore de petites sculptures. Une fois que les objets sont imprimés en 3D, si vous n’êtes pas satisfaits, vous pouvez retravaillez le design très facilement, comme pendant un atelier de poterie. Les objets peuvent être vernis ou décorés avec de la peinture avant d’être passés au four.

La Clay XYZ est dotée d’un système d’extrusion unique qui est composé d’un tube dans lequel l’utilisateur met l’argile, comme s’il chargeait une batterie, et d’une tête d’impression. Il utilise un compresseur qui retire les bulles d’air de l’argile, augmentant ainsi la précision de l’impression. Ce système est compatible avec plusieurs imprimantes FDM : si vous en avez déjà une, il vous suffit d’acheter le système seulement.

La nouvelle imprimante 3D permet d’augmenter de 15% la vitesse d’impression de l’argile, avec une précision comprise entre 0,2 et 0,8 mm. Cela permet d’avoir des résultats beaucoup plus travaillés qu’avec des méthodes plus traditionnelles.

L’argile est un matériau d’impression qui présente plusieurs avantages : il est très facile à trouver et peut être réutilisable s’il n’a pas déjà été cuit. Il suffit de dissoudre l’objet imprimé en 3D dans de l’eau chaude et  de récupérer alors l’argile.

L’imprimante 3D, ainsi que le système d’extrusion et une boite à outils, sera disponible à partir de $699 pour les Super Early Birds ; le dispositif d’extrusion seul est quant à lui disponible à partir de $399.

Source 3Dnatives